1. SUR UNE AIRE D'AUTOROUTE (1)


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Trash,

    ... avait trouvé la fente humide de ses lèvres et les gestes experts de l’homme qui la caressait lui ôtèrent toute forme de résistance. Elle était alors submergée par ses envies… Son string en satin ne résista pas longtemps à l’homme qui le déchira d’un coup sec arrachant à sa proie un cri de surprise et de douleur. Elle plaqua ses mains sur son torse en un geste de protestation muette mais il ne la voyait plus et lui enfonça brutalement trois doigts dans sa chatte trempée du désir qu’elle avait ressenti quelques minutes avant la faisant se cambrer malgré elle. Elle était toujours maintenue fermement contre lui. Elle sentait à travers ses vêtements le sexe tendu de son bourreau et, malgré sa colère, cette sensation l’excitait ; elle avait envie de le frapper et en même temps le plaisir que lui procurait le va et viens habile des doigts qui la fouillait lui faisait perdre toute volonté d’agir. Elle s’abandonna alors et s’ouvrit davantage à son partenaire. Il sentit qu’elle fondait entre ses bras mais ne l’entendait pas de cette oreille. Il la voulait rebelle, résistante à ses désirs. Il retira ses doigts de cette chatte brûlante et gonflée d’envie puis relâcha d’un coup son étreinte. Elle se sentit glisser à terre et se retrouva à quatre pattes sur le sol mouillé, sans savoir vraiment comment. Sa jupe, remontée jusqu’à la taille, laissait voir sa croupe blanche sous la lumière de la lune qui perçait les nuages. Pourquoi l’avait-il lâchée ? Ne voulait-il plus d’elle ? De plus elle ...
    ... se sentait humiliée dans cette position peu avantageuse. Elle leva le regard vers celui qui la dominait à cet instant de toute sa hauteur. Il avait l’air très content de lui et souriait d’un air narquois tout en caressant sa queue à travers la toile de son pantalon. Un éclair de fureur traversa les yeux de Caroline qui commençait à se redresser avec l’intention de partir sans un mot. C’est ce qu’il attendait… Il la laissa se mettre debout et voulu même l’aider à rajuster sa tenue. — Ne me touchez pas ! Lui cracha-t-elle. Puis, tournant les talons, elle se dirigea vers sa voiture. Il la retint par le bras, la retourna vers lui, arrêta au passage une main qui aurait dû lui arriver en plein visage, puis, emprisonna les deux mains de la belle dans son dos avec une poigne de fer... — Voyons Caroline, vous n’allez pas partir comme çà ?! — Espèce de goujat ! Lâchez-moi ! — Tu as voulu jouer avec moi pendant la réunion et sur le parking, hein ? Petite salope ! Maintenant c’est à moi de jouer… ! A ces mots, il retira sa cravate et la noua solidement autour des mains de Caroline qui se débattait totalement effrayée. Elle était à nouveau plaquée contre la voiture et immobilisée par le poids du corps de l’homme contre elle, n’osant pas hurler de peur de déclencher sa colère. Il avait les mains libres et délicatement, ouvrit la veste de sa proie, dégrafa habilement son soutien-gorge pour libérer ses seins ronds qui se soulevaient au rythme saccadé de sa respiration. Il les prit doucement ...
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