1. SUR UNE AIRE D'AUTOROUTE (1)


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Trash,

    ... jouissance, accéléra ses coups de reins aussi librement que s’il lui prenait la chatte. Il voulait encore la baiser et malgré une envie de jouir quasi-intolérable, il retira sa queue de son anus, la fit glisser entre les lèvres trempées de mouille de sa victime à demi-consciente. Elle se sentait à la fois comblée de plaisir et vide de toute emprise. Elle était épuisée et attendait qu’il la libère enfin. Quand elle sentit le bras de son partenaire entourer son ventre pour la maintenir au niveau de sa queue et que son autre main glissait le long de son dos, elle comprit qu’il n’en avait pas fini avec elle. Tout en agrippant brutalement ses cheveux pour la tirer en arrière, il enfonça violemment son membre d’un seul coup de rein au fond de sa chatte. — Tu as bien joui, salope !! Mais je veux encore fourrer ma bite dans ta chatte. J’ai encore envie de te baiser comme une chienne !! Puis, n’écoutant que son plaisir lubrique, il la bourra sans retenue en poussant des « han » de bûcheron canadien. On entendait dans le silence de la nuit les claquements rapides de ses coups de reins contre les fesses de sa proie et les gémissements de plaisir des deux partenaires. Il n’en pouvait plus. Son envie de jouir était trop forte. Il lâcha les cheveux de Caroline, qui manqua de se cogner la tête contre la rambarde tellement elle s’abandonnait à cet homme, puis il desserra l’emprise sur sa taille et retira son membre de sa chatte. Elle se retrouva à genoux devant la rambarde, le souffle court ...
    ... et toujours attachée par les poignets. Il était à nouveau près de son visage. Soudain, il lui attrapa les cheveux, la forçant à le regarder se branler devant elle : — Suce-moi la bite bien à fond, salope ! Je vais te remplir la bouche de mon sperme ! Elle obéit avec délice et se mit à le sucer vigoureusement, tout en le regardant dans les yeux d’un air de soumise consentante et lubrique, ce qui provoqua en lui un long frisson et déclencha sa jouissance. Reprenant en main sa grosse queue pour mieux la branler, il jouit sur son visage, dans sa bouche en de longs jets de sperme tiède. Elle léchait ses lèvres couvertes du jus de son bourreau qui la regardait d’un air satisfait sa queue toujours à la main. Il se rajusta avant de détacher sa victime et l’aida à se remettre sur ses pieds. Elle remit sa jupe en place, tituba jusqu’à sa veste et son soutien-gorge qui gisaient à terre, à moitié trempés d’humidité, remis sa veste, essuya le sperme qu’elle avait encore sur le visage et se retourna pour regarder l’homme qui se dirigeait vers elle avec des airs de propriétaire. Il s’arrêta à un pas d’elle : — vous êtes une sacré salope… Mais il fut arrêté au milieu de sa phrase par une formidable gifle qui lui arriva en plein visage le laissant médusé. Elle n’attendit pas sa réaction et, tournant les talons, elle se dirigea vers sa voiture sans tarder, ouvrit la portière, la claqua aussi fort que possible, verrouilla l’habitacle, tourna la clé toujours sur le contact, démarra et partit en ...
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