1. Lettres d'une femme mariée - 4


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail collection, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, journal, lettre, confession,

    ... s’attendrir… Ensuite elle a accompli ce geste qui m’a toujours impressionné chez les femmes qui s’apprêtent à donner la tétée à leur bienheureux bébé. Elle s’est penchée vers l’un de ses seins, a déboutonné sa chemise pour faire surgir un ravissant bouton de chair gonflé, qui coiffait superbement sa grosse mamelle. Elle m’a demandé un peu inquiète si ce que je voyais me plaisait. Comment aurais-je pu lui dire autre chose… son sein était magnifique ! Et puis elle m’a dit ces mots qui résonnent encore à mes oreilles et auxquels je pense souvent lorsqu’une femme daigne m’accorder ses faveurs : « Si tu veux, tu peux l’embrasser et le sucer… Tu sais, je crois qu’il va adorer ça ! » C’est curieux car elle me parlait de son sein comme elle l’aurait fait d’un petit animal en mal d’affection. Ce que je compris bien vite, c’était que c’était elle qui avait besoin d’affection et j’étais prêt à ne pas la décevoir… Ce soir-là, elle m’a en quelque sorte tout appris sur le plaisir qu’attend et que peut recevoir une femme qui aime faire l’amour. J’ai eu l’impression également qu’elle m’offrait plus d’affection et d’amour en une soirée que ma mère ne m’en avait donné depuis des années. Quand j’ai perdu ma virginité en me glissant dans son sexe tout aussi broussailleux que celui de sa fille, j’ai su que je rechercherais à vivre cette sensation irremplaçable autant de fois que cela serait possible… Je suis devenu pendant quelques temps son « petit amant secret » comme elle disait… et puis ...
    ... j’ai commencé à fréquenter d’autres filles et quand elle l’a appris, elle n’a plus souhaité me revoir… Mais le mal était déjà fait si l’on peut dire, j’étais devenu dépendant aux femmes comme on dépend d’une drogue ! Au début d’une relation, j’avais l’impression d’être comblé, sexuellement s’entend, par une seule d’entre elles… mais toujours, quand la passion marquait le pas, il me fallait chercher à satisfaire ma libido dévorante avec une autre ! Et cela n’a jamais véritablement cessé, si ce n’est pendant les deux ans qui ont suivi mon mariage, qui sont aussi les uniques années où je peux dire que je suis resté fidèle ! J’avais la confirmation, s’il en était besoin, qu’avec moi ce n’était déjà plus le cas. Je le savais par ce que j’avais vu de ses ébats avec Muriel, mais je savais désormais qu’elle n’était pas la seule… alors que cela ne faisait pas un mois que je le connaissais ! J’aurais voulu qu’il m’en dise davantage et bien sûr, qu’il aborde l’épisode du tiroir, mais le temps s’était écoulé sans que je m’en aperçoive… et le travail à l’agence nous attendait. Je savais déjà qu’il me faudrait patienter encore au moins jusqu’à lundi ! En attendant ce récit m’avait passablement excitée et je savais déjà que j’aurais à ton égard ce soir une attitude très accueillante ! Il me faut me contenter, en attendant, d’embrasser en pensée tes jolies lèvres… Lundi 18 mai Mon bien-aimé Nous nous sommes retrouvés ce midi au même endroit, à la même table et Michel a repris son récit trop ...
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