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Lettres d'une femme mariée - 4
Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail collection, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, journal, lettre, confession,
... ouvrant l’enveloppe, j’ai eu la surprise de ne pas y trouver la longue lettre que j’y attendais, mais ces quelques mots accompagnés d’une clé : Mon geste était tout sauf assuré quand j’ai approché la clé qui devait me dévoiler tant de secrets… En ouvrant le tiroir avec difficulté, je n’ai tout d’abord pas réalisé ce qu’étaient ces amas de tissus qui par leur masse avaient gêné mon opération… C’est l’odeur évidente qui est parvenue à mes narines qui m’a fait brusquement réalisé ce dont il s’agissait. C’était cette même odeur que je venais de respirer quelques minutes avant, quand ma charmante informatrice m’avait indiqué de venir ici. L’odeur de Muriel se dégageait de la pièce d’étoffe que j’avais prise entre mes doigts. Je tenais dans ma main sa petite culotte encore imprégnée de son parfum, mais dans ce même tiroir se trouvaient d’autres culottes dont la variété de taille me montrait qu’elles appartenaient à d’autres femmes… parmi lesquelles je reconnu la mienne ! En appliquant mes narines à certaines d’entre elles, je me rendais compte que le « forfait » devait pour quelques-unes remonter à peu de temps. Une odeur bien individualisée faite de parfum et de sécrétions intimes était encore exhalée par ces lingeries si personnelles ! Un souci du détail, aussi cruel pour moi qu’inutile, me poussa nerveusement à extraire chaque culotte pour en jauger le volume et la forme tout en imaginant le réceptacle qui pouvait l’occuper et surtout la nature de sa propriétaire ! … ...
... Étaient-ce des clientes ? … Des femmes draguées dans la rue ? … La culotte de sa propre femme s’y trouvait-elle ? … Est-ce qu’il avait baisé chacune de ces généreuses donatrices ? … En avait-il d’autres ailleurs ? … Quelle part de ses conquêtes féminines était représentée dans ce simple tiroir ? Toutes ces questions se bousculaient dans mon esprit et je savais que je ne pourrais en connaître la réponse aujourd’hui ! Au moment où je t’écris, je m’aperçois que la douleur de cette jalousie, que je croyais avoir su étouffer en moi, n’a été qu’à peine apaisée par la charge du travail de ma journée. Une fois « seule » dans ce café et inactive, je me trouve à nouveau désemparée et je ressens physiquement une souffrance si intense ! Comment m’imaginer par exemple qu’il n’avait pas profité de cette d’absence d’aujourd’hui pour aller rejoindre une de ses nombreuses maîtresses ? J’ai envie de rentrer vite à la maison, mais je ne crois pas que tu puisses m’être aujourd’hui d’un vrai réconfort. Pour ajouter à ma douleur, il me faudra avec toi traverser l’épreuve de devoir feindre la bonne humeur ! Tendrement. Samedi 16 mai Il était encore absent ce matin et Muriel ne savait pas davantage quelle en était la raison. Je craignais avoir été trahie… C’est vers 11h30 que j’ai reçu un message sur mon portable : Je trouvais vraiment étrange qu’il cherche à me rencontrer dans un endroit aussi peu intime, mais lorsque je suis arrivée, j’ai découvert qu’il avait réservé une table dans un coin en retrait. Il ...