1. Lettres d'une femme mariée - 4


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail collection, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, journal, lettre, confession,

    ... m’attendait déjà. Il m’a embrassée sur la bouche, et je me suis laissée faire, et puis je me suis installée, prête à tout entendre. Rapidement, il a préféré devancer mes questions. — J’ai souhaité que nous nous retrouvions ici, dans un endroit neutre. Mais immédiatement une pensée est venue encombrer mon esprit. Cet endroit qui lui est tellement familier, forcément avait dû être un lieu privilégié pour accomplir ses conquêtes féminines ! L’endroit ne me semblait pas neutre du tout et je le vis comme un acte de soumission supplémentaire à son égard, d’autant que j’écoutais désormais avec une réelle complaisance ce qu’il était en train de me raconter. — Depuis que je suis enfant, j’ai été attiré particulièrement par les femmes… je veux dire plus que ne le sont habituellement les garçons à cet âge. Cela a pris très vite un caractère obsessionnel chez moi. Avant de pouvoir connaître un véritable contact auprès d’une femme, alors que celui avec les filles de mon âge m’attirait beaucoup moins, j’étais véritablement obnubilé par le fait d’en découvrir toujours davantage sur l’anatomie féminine. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être faut-il chercher dans mes souvenirs de moments de tendresses quand j’étais plus petit et que ma mère me prenait sur ses genoux pour que je vienne me blottir tout contre elle. Et puis il y a eu le départ de mon père alors que j’avais huit ans, qui m’a laissé grandir dans un univers exclusivement féminin… celui de ma tante, et de mes grandes cousines. Après ...
    ... cela il y a eu mon beau-père qui est arrivé brutalement dans ma vie, qui était sans tendresse pour moi, qui me jalousait et qui a eu une telle emprise sur ma mère. Elle a elle-même commencé à s’éloigner de moi, me refusant bientôt tout témoignage d’affection. C’est à ce moment-là, plus encore, que je me suis trouvé réduit à espionner les femmes de ma famille chez lesquelles je me trouvais aller de plus en plus souvent, avec cette conviction cruelle que ma mère voulait maintenant se débarrasser de moi. J’étais en arrivant malgré moi sur la défensive, mais ce que j’entendais de lui me préparait à être plus complaisante vis-à-vis de ce que j’allais entendre. Il parvenait ainsi à m’attendrir et maintenant je me sentais prête à recevoir ce qui ressemblait à une confession. — Dès mon réveil, toujours à la même heure, je me précipitais pour regarder par une fente dans la cloison du mur de ma chambre que j’avais remarquée derrière la penderie. J’avais le plaisir de découvrir, toujours avec le même ravissement, les beaux seins lourds aux larges aréoles foncées de ma grande cousine qui était alors étudiante et qui avait la bonne idée de dormir toujours nue. Lorsque j’entendais son réveil sonner, je savais qu’allait s’accomplir ce qui était devenu un rituel secret pour moi qui ne durait que quelques secondes. Quand elle se redressait langoureusement et qu’elle dévoilait sa magnifique poitrine, j’étais toujours fasciné par le contraste qui existait entre ses sublimes masses de chair à la ...
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