1. Lettres d'une femme mariée - 4


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail collection, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, journal, lettre, confession,

    ... blancheur laiteuse qui ballottaient de façon exquise, et leur pointe si brune qui paraissait si dure et que j’appelais « ses jolies sucettes »… Je m’imaginais alors être le bébé ravi qui pourrait s’abreuver à ses opulents biberons de chair… Parfois elle étirait ses bras pour évacuer magnifiquement ce qui lui restait de fatigue, et c’était un moment que je chérissais plus que tout en voyant ainsi ses beaux nichons se relever, puis s’affaisser un peu, tout en restant si fermes avec une souplesse magnifique ! La rapidité de ses gestes quand elle se levait, malheureusement pour moi toujours trop tôt, m’empêchait de profiter pareillement de l’autre spectacle qui me subjuguait lui-aussi… Il fallait que je me mette debout pour percevoir, à travers la fente trop étroite de la cloison, le joyau si énigmatique qui apparaissait furtivement entre ses cuisses… Je me suis rendu compte plus tard, lorsque j’ai eu suffisamment d’éléments de comparaison, que son sexe était particulièrement poilu. Ses poils d’un noir de jais accentuaient encore la sensation de mystère, tel celui d’une forêt profonde dont j’aurais aimé être le premier explorateur ! J’avais au moins la satisfaction de me dire que j’étais probablement le premier garçon à profiter du spectacle de son intimité… et puis de temps en temps, j’avais l’impression d’en découvrir plus, quand elle prenait une certaine position pour se relever, il arrivait que je distingue de jolis reliefs entre ses cuisses qui émergeaient à peine de cet ...
    ... îlot touffu… Il marqua alors une pause, et je me rendis rapidement compte que cela était dû à l’émotion qui l’envahissait malgré lui… Lorsqu’il croisa alors mon regard, je voyais dans celui-ci la naissance de larmes qu’il avait du mal à contenir. Il m’adressa un sourire attendri et je dois avouer que je ne sais alors à qui il s’adressait, sa maîtresse, sa confidente, ou même la mère qu’il aurait alors souhaitée auprès de lui… — Je prolongeais ce plaisir trop court par le fait d’aller la rejoindre quand elle prenait son petit-déjeuner. J’aimais discuter avec elle, et de la voir ainsi me parler de ce qui la préoccupait sans ce douter de rien, alors que j’étais encore habité des images de son corps sublime, m’excitait au plus haut point. Je devais lui paraître un confident d’une patience insolite pour un garçon de mon âge. Elle ne pouvait deviner le plaisir simple que j’avais alors, à porter mon regard sur sa silhouette coquettement vêtue mais où je croyais voir plus qu’elle ne pouvait imaginer… J’avais à portée de mes mains la vision sublime de cette ravissante jeune femme qui, sans le savoir, m’avait fait le cadeau de sa nudité. Lorsqu’elle quittait la pièce, toujours avant moi, c’était pour m’offrir la vision à travers l’étoffe fluide qui la couvrait de la seule part aussi puissamment érotique de son anatomie que je n’avais pu découvrir : des fesses généreuses également bien séduisantes ! Je repensais à cet instant au goût toujours prononcé de Michel pour le voyeurisme, à ce ...
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