1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 582)


    Datte: 27/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Pauline au Château - Voici un nouveau récit fort prometteur écrit par Pauline laquelle je remercie sincèrement et récit amélioré par mes soins - Je m’appelle Pauline, une jeune femme ayant des désirs puissants de soumission mais aussi avec déjà une certaine expérience vécue dans de sulfureuses relations D/s. Le ciel était lumineux en ce jour d’automne quand, installée en 2ème classe dans ce TGV, je prends la direction de la gare de Lyon-La-Part-Dieu. Une certaine angoisse monte au fur et à mesure que les minutes passent. Je suis vêtue de ma jupe préférée, moulante à souhait, perchée sur mes escarpins noirs, des bas noirs me montent jusqu’à mi-cuisses, un chemisier blanc transparent passée sur un fin débardeur noir, dévoile mes tétons tendus. « Aucun sous-vêtement », c’est ce qu’indiquait le message, qui accompagnait mon billet de train. Un homme est assis en face de moi, et il ne cesse de me fixer depuis son arrivée à son siège lors du dernier arrêt du train. Je tente de me cacher derrière mon livre, « Une nuit dans un harem maure », quand je pense à l’image sur la couverture, cela ne doit en rien, le calmer. D’ailleurs, moi aussi, je me sens humide, je lis ce livre depuis ma montée dans le train, à présent et au fil des pages, mon sexe c’est humidifié. Je connais le pouvoir de ces romans érotiques sur mon corps, et j’avoue que j’aime cela. Cela fait un mois, qu’aucun homme ne m’a pris, pour femme ou soumise, cela fait un mois, que ma chatte attend patiemment qu’un sexe ...
    ... vienne se faufiler en elle. Je suis émoustillée à la fois par ma lecture, mais aussi par ce regard puissant et inquisiteur de cet homme impassible, froid qui ne me quitte plus. Ayant eu affaire, plus d’une fois à ce genre d’homme incapable de lâcher un contact visuel sur moi, ils sont à mes yeux, des malpolis, comme si à leur simple regard, je devais me plier, et les servir. Je ne me plie pas aux inconnus, pour me plier, il faut d’abord obtenir ma confiance et mon respect. Alors, je lui envoie un regard noir, pourvu de dédain, de mépris et me replonge dans ma lecture, tentant de faire abstraction de ces yeux pervers qui me déstabilisent et qui lui donnent un visage de rapace près à sauter sur sa proie. Les minutes défilent, je poursuis ma lecture érotique « … son instrument devint rigide au fond de mes entrailles… », ces mots me font l’effet d’un électrochoc, instinctivement, je contracte mon vagin, puis le relâche en douceur. Dénudée, mon sexe lisse, ainsi exposée à l’air libre: je me sens dégoulinante. Je jette un regard autour de moi, ma voisine dort, mon voisin d’en face, regarde par la fenêtre, la table rabaissée et disposée entre lui et moi, m’oblige à conserver ma place, je ne peux bouger sans réveiller ma voisine. Je me sens comme prisonnière, j’aimerai aller me soulager aux toilettes… La voix féminine de la SNCF retentit dans le wagon, « Arrivée à la gare de Lyon-La-Part-Dieu dans 5 minutes, veuillez attendre l’arrêt complet du train avant de descendre, la SNCF… blabla… » ...
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