1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 582)


    Datte: 27/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... rassurer. Cela n’a aucun effet sur moi, je me tiens droite, cuisses écartées, figée, telle une statue. Des pas résonnent dans mon dos, je sens la présence de deux nouvelles personnes postées à présent dans le couloir central, à notre hauteur. L’homme face à moi, continue à me fixer droit dans les yeux, un sourire pervers aux lèvres. - Messieurs, je crois que cette chienne est tétanisée et incapable de bouger, cela va nous rendre la tâche plus compliquée. - Depuis quand une chienne est en mesure de rendre les choses compliquées ? - Oui, tu as bien raison, Franck, dit-il à son complice, puis s’adressant à moi plus sévèrement : - Tu vas te lever, prendre tes affaires et nous suivre, le TGV ne va tarder à repartir… Alors nous quittons le TGV, bien entourée et je suis sans dire un seul mot, l’homme qui venait de parler et ses deux acolytes restant derrière moi et fermant la marche. Nous longeons le quai à la foule bruyante pour nous rendre dans le hall central de cette grande gare bondée. Mais au lieu de quitter celle-ci, nous nous dirigeons dans un des bars SNCF. Et au lieu de s’installer à une table pour consommer, nous prenons de suite la direction d’une porte où il est affiché ‘’Privé’’ située juste à côté du comptoir. Je constate qu’un des barmans fait un signe complice à l’homme que je suis de près. Nous entrons alors dans une banale salle annexe, traversons un court couloir pour entrer dans une petite pièce sans fenêtre où il y a juste au centre, une chaise et une table. ...
    ... Quand j’entends la voix laconique de l’homme : - Chienne, déshabille-toi. Mécaniquement, mon corps réagit, c’est comme si je visualisais la scène hors de mon corps, je sens mes mains ôter mes chaussures, descendre mes bas, déboutonnée mon chemiser. Un quart de seconde, j’hésite à aller plus loin, mais le regard dominateur et féroce posé sur moi, me fait comprendre que je dois me dépêcher. Les yeux fermés, je retire mon débardeur, dévoilant ainsi ma poitrine dénudée à ces trois hommes, je rougis instantanément quand je remarque avec effroi, que mes tétons sont pointus et durs. Cela n’a pas échappé à mes protagonistes, qui déjà affichent un sourire pervers en me découvrant ainsi. Je me redresse, passe les mains dans mon dos, et défait la tirette de la fermeture éclair située sur l’arrière, puis me penchant en arrière, pour soulever mes fesses, je fais glisser ma jupe sur mes cuisses, présentant ainsi mon sexe lisse, et humide. - Très bien, place tes mains à plat sur la table, et penche toi en avant, reposant ainsi ta tête de chienne sur cette table. Sans prendre le temps de réfléchir, je m’exécute, présentant ainsi mon dos d’une blancheur parfaite. Je sens une main se placer sur mon crâne, cette dernière appuie avec insistance, m’obligeant à coller ma joue sur la table froide. Un bruit résonne, je n’ose bouger. Je sens une main passée sur mon dos avec lenteur, je tressaille, ce contact irradie instantanément ma chair, mon sexe. Avec force, mes deux bras sont placés dans mon dos, ...