La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 582)
Datte: 27/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Le micro s’arrête, je remarque mon voisin, toujours à l’apparence perverse, prendre son téléphone, et passé un appel court et précis : « Message SNCF, 5 minutes à la gare de Lyon-La-Part-Dieu ». Sa voix est calme et posée, je m’interroge sur l’origine de ce message, court, sans aucun mot de politesse. Je hausse les épaules pour moi-même, il fait bien ce qu’il veut. Je rouvre mon livre, où je m’étais arrêté, et à ce moment précis, mon portable sonne, un message d’un numéro masqué, surprise je l’ouvre : « Tu vas attendre que le train soit vide avant de descendre. » Je reconnais tout de suite, qui m’envoie ce message, il s’agit du Maitre que je viens voir. Le train décélère, je range mon livre dans mon sac à main, et regarde le paysage extérieur, le temps semble humide et frais, malgré le ciel bleu rien d’étonnant pour une journée de novembre. Le train finit par entrer en gare, la femme à mes côtés se réveille, une certaine agitation s’installe dans le wagon, j’entends un enfant demandé si nous étions arrivés. Un homme tente de faire descendre sa grosse valise des compartiments placés en hauteur, avec difficulté. Je reste impassible, mon regard s’égare sur le quai de la gare. Sera-t-il là ? Je sens le stress m’envahir, je n’ai eu aucune information, concernant la fin de mon voyage, hormis ce dernier message, perturbant. Je sens la pression monter, mon sexe déjà bien humide par le trajet, ne m’aide pas à me calmer. Pourquoi faut-il que je lise des livres érotiques ? Une ...
... histoire romantique cucul la praline, aurait tout aussi bien fait l’affaire, et je ne serais pas dans cet état… d’excitation ! Je me mords la lèvre, parfois, je me demande à quoi je pense… Le quai est à présent bondé, certains s’embrassent, d’autres courent pour récupérer un autre train. A première vue, il n’est pas sur le quai, sinon, je l’aurai reconnu de suite. Déçue, je jette un regard dans le wagon, et perdue dans mes pensées, je n’avais pas remarqué que l’homme au regard pervers face à moi, n’avait pas bougé d’un pouce. Je tente d’ignorer son regard insistant qui à présent est posé sur ma poitrine. Je me lève, et sa voix laconique me glace : - Assied toi, chienne. Tétanisée, je jette un rapide coup d’œil alentours, nous sommes seuls. - Assied toi, chienne. Je me retourne vers lui, et alors que je m’apprête à lui lancer un nouveau regard noir, je me retrouve démunie face à ce regard Dominateur et sans équivoque. Mon bas-ventre grogne de plaisir, je voudrais répliquer, mais au lieu de ça, mon corps agit sans même en avoir conscience. Délicatement, je me repose sur le siège que je venais à peine de quitter, mon regard perdu dans le sien. Il passe ses jambes sous la table, et place chacun de ses pieds entre les miens, puis les distance, m’obligeant ainsi à écarter largement les cuisses. J’ignore ce qu’il m’arrive, j’ignore qui est cet homme, je suis littéralement paralysée par ce regard. Tout d’un coup, il change enfin de visage car il me sourit, presque tendrement, comme pour me ...