1. Ruby et la police


    Datte: 09/08/2018, Catégories: fhhh, couplus, uniforme, forêt, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fdanus, jeu,

    ... divine, tremblant derrière un bouquet d’arbres, me fixant de ses yeux inquiets et brillants d’excitation. — Ça y est ? Tu es content ? Je peux revenir à présent ?— Oui, mais surtout ne te presse pas, mon amour, tu es vraiment trop belle. Tandis qu’elle s’avançait prudemment dans ma direction, j’ai sorti mon téléphone pour immortaliser ce superbe spectacle, si bien que je n’ai pas remarqué qu’une voiture s’était arrêtée au début du chemin et que deux hommes avançaient dans notre direction. Ruby n’en était pas plus consciente, aveuglée par les phares de la voiture et dansant comiquement d’un pied sur l’autre pour préserver ses pieds nus. Je n’ai réalisé que lorsqu’ils se sont trouvés à ma hauteur, tout aussi fascinés que moi par le merveilleux spectacle qui s’offrait à nous. — Bonjour Monsieur. Police nationale. Vous pouvez me dire ce que vous faites sur ce sentier privé ? Sauver des jeunes femmes en détresse, peut-être ? C’est à ce moment que Ruby a découvert les deux policiers qui la regardaient, appuyés contre la voiture. Elle a poussé un « Oh, mon Dieu ! » de surprise qui a résonné dans la forêt et elle s’est précipitée en courant dans l’habitacle pour s’y couvrir de son chemisier et de sa jupe. — Je ne savais pas que c’était un sentier privé, monsieur l’agent…— Inspecteur, inspecteur Leclerc, et voici le sergent Varnier.— Excusez-moi, Monsieur l’inspecteur. Cette jeune femme en détresse est mon épouse qui avait tout simplement besoin de soulager un besoin pressant. ...
    ... Pas de quoi rédiger un procès-verbal, non ?— Je vois… Dites donc, ça doit être amusant chez vous si madame se met à poil chaque fois qu’elle va arroser les pissenlits. Ruby était recroquevillée sur son siège, serrant son chemisier et sa jupe contre elle sans même penser à les enfiler, n’osant pas regarder les deux hommes qui faisaient courir le faisceau de leur lampe-torche sur ses chairs largement dénudées. J’aurais sans doute pu leur dire qu’ils outrepassaient leurs droits et leur demander d’arrêter de mater mon épouse, mais cette visite inattendue m’avait donné des idées. — Voyez-vous, inspecteur, il n’y a pas que ça. Ma femme souffre d’exhibitionnisme et d’une légère tendance à la nymphomanie que je dois parfois l’aider à soulager.— C’est vrai, ça, ma p’tite dame ?— Mais… mais pas du tout ! Je ne vois pas où il est allé chercher ça. Je n’avais tout simplement pas envie d’abîmer mes vêtements dans les buissons, voilà tout.— C’est bien dommage, ça. Car voyez-vous, si vous étiez réellement malade, je ne pourrais pas vous emmener au poste pour attentat à la pudeur…— Qu’est-ce-que vous voulez dire ? Mais… Jacques, dis quelque chose, voyons !— Que veux-tu que je te dise ? Monsieur l’inspecteur a raison. Qu’est-ce qu’il t’a pris de t’exhiber ainsi toute nue dans les bois ?— Mais… Espèce de salaud !— Bon, ça suffit maintenant ! Sortez de la voiture tous les deux afin que le sergent Varnier puisse se livrer à une fouille méthodique du véhicule. Alors que je sortis de la voiture, ...
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