1. Les vacances de Julie - 4


    Datte: 09/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    Chapitre 4 : L'Ile Barbe Trois jours après l’arrivée de Julie à Lyon, nous commencions à avoir un rythme convenable. Le matin, après la rituelle gorge profonde du réveil, Julie se mettait à quatre pattes sur le lit, écartant elle-même ses fesses, et alors je la sodomisais jusqu’à éjaculer dans son étroit fondement, puis plaçais son plug en elle. Bien sûr, je m’occupais aussi de sa petite chatte, constamment dégoulinante, toujours en manque d’attention. Je la pénétrais aussi souvent que je pénétrais son cul, mais Julie n’était autorisée à jouir que lorsque je la sodomisais.. A plusieurs reprises, Julie m’avait donc demandé de la prendre par derrière, trop désireuse de jouir. Je ne me faisais pas fait prier, et j’avais à chaque fois cassé ce petit cul que j’aimais tant maltraiter. Le mercredi avait été une journée pluvieuse. Aussi nous étions restés à l’appartement quasiment toute la journée. Julie ne portait que son plug anal, et les traces d’une fessée un peu plus violente que d’habitude. Sinon, elle déambulait entièrement nue chez moi. En fin d’après-midi, je lui ai dis d’aller se faire belle, sans lui en dire plus. Je lui ai simplement dit que nous allions sortir, puisque le soleil en faisait de même. Elle s’est enfermée dans la salle de bain et en est ressortie trente minutes plus tard, maquillée et coiffée, avec classe et sobriété, mais toujours aussi nue. — Comment je dois m’habiller ? m’a-t-elle demandé. Bonne question. J’hésitais encore. J’avais bien envie de la ...
    ... laisser nue pour le reste de son séjour à mes côtés. Je me suis tout de même résigné à aller fouiller dans sa valise et j’en ai sorti une jupe un peu ample, et un chemisier qui, une fois sur elle, ne cachait pas grand chose de ses formes. Tant mieux. Pour finaliser sa tenue, j’ai été chercher dans une caisse, au fond de mon armoire, et en ai ressorti un épais collier de cuir. Je l’ai tendu à Julie qui l’a pris en main, et l’a longuement observé. — Il est gros, a-t-elle dit à voix basse. — Tu es observatrice, ai-je répondu avec ironie. — Tout le monde va le voir… — Et tu as de la jugeote. Allez, enfile ça et on y va. Résignée, Julie a passé la lanière de cuir autour de son cou, tentant de le dissimuler du mieux qu’elle pouvait derrière ses cheveux ou le col de son chemisier. J’ai alors attrapé l’anneau doré au centre du collier, et l’ai tirée vers moi en l’étranglant légèrement. — Une chienne ne devrait pas avoir honte de son collier, lui ai-je dis avant de l’embrasser langoureusement, ce qui lui a redonné un semblant de sourire. Allez, on y va. Nous avons pris la voiture et sommes partis en direction de l’Ile Barbe, au nord de la ville, sur la Saône. On s’est garés pour prendre un verre de vin en terrasse en face de l’île, admirant les couleurs du ciel au soleil couchant. Bizarrement presque seuls à cette terrasse, la scène était largement teintée de romantisme. Julie et moi parlions en buvant nos verres de vin blanc frais, et je caressais son bras, puis embrassais sa joue. Nous ...
«1234»