1. Les vacances de Julie - 4


    Datte: 09/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... ils ont été encore nombreux à venir se répandre sur son visage dévasté. Le spectacle a duré encore vingt bonnes minutes, avant que j'y mette un terme. Il y a eu des déçus, râlant d'être arrivés trop tard, mais bons joueurs, ils sont repartis vers d'autres fourrés, où d'autres spectacles devaient être donnés. Pour nous, il était temps de retrouver la voiture. J'ai tiré sur la laisse et Julie s'est relevée, mais j'ai fouetté le haut de sa cuisse avec cette même laisse. — A quatre pattes, ai-je dis sèchement. — Oui Monsieur, pardon. C'est donc à quatre pattes que Julie m'a suivi jusqu'à la voiture. Le visage recouvert de sperme, ses seins ballotant à chaque mouvement, ses mains et ses genoux plein de terre et d'herbe mouillée, la rendaient plus chienne encore. Plus je l'humiliais, plus je la trouvais belle, et j'avais envie de lui faire subir toutes les pires perversions au monde pour la magnifier encore un peu plus. Arrivés à la voiture, elle est restée à quatre pattes. Docile. J'ai attrapé une boite de mouchoirs dans la boîte à gants et ai alors commencé à essuyer son visage. — Alors, ai-je lancé, combien en as-tu compté ? — Vingt-six, m'a répondu Julie. — Tu as fait bander vingt-six queues ? — Je crois oui. — Erreur, lui ai-je répondu en la giflant doucement. Tu en as oublié une. Julie m'a regardé avec étonnement, mais a compris son erreur quand elle m'a vu défaire ma ceinture. J'ai sorti mon sexe de mon pantalon, lui présentant la vingt-septième queue bien dure par sa ...
    ... faute. Lorsque je lui ai dit d'ouvrir sa bouche, Julie s'est exécuté, résignée, désolée d'avoir fait cette bête erreur. — Tu as oublié la plus importante de toutes, en plus, ai-je dit en glissant mon sexe contre sa langue. J'ai poussé en attrapant l'arrière de son crâne, et à un rythme soutenu, j'ai commencé à baiser sa gorge. Julie encaissait sa punition comme une pro, s'étouffant à peine sur mon sexe planté en elle. Peut-être pensait-elle que c'était la punition que je lui avais réservée pour avoir perdu au jeu, mais elle n'y était pas. Je ne faisais que m'échauffer. Après quelques minutes de cette gorge profonde qui avait ravagé un peu plus, si cela était possible, son visage, et lui avoir soulevé le cœur une ou deux fois, je me suis retiré, et me suis concentré sur son fessier. D'un geste de la main, j'ai relevé sa jupe au-dessus de son cul, et du bout du pied, je lui ai fait écarter les cuisses. J'ai bien un instant zieuté sur son anus, distendu par le plug qu'elle portait toujours, mais c'est sa chatte, entrouverte, trempée, que je voulais. Je m'y suis enfoncé en un mouvement. Julie a laissé s'échapper un cri de surprise, je l'avais pénétrée jusqu'à la garde. Mes mains ont attrapé ses fesses, que j'ai malaxées, pétries, griffées et claquées, et je l'ai baisée comme un sauvage, sans retenue. Un couple est passé non loin. Il faut dire que nous n'étions pas discrets, à côté de la voiture, sous la lumière des phares qui passaient près de nous. Ils se sont mutuellement touchés un ...