1. Les vacances de Julie - 4


    Datte: 09/08/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... étions un couple normal aux yeux de tous. Ou plutôt, aux yeux de tous ceux qui n'auraient pas encore vu le collier de Julie. Lorsque la nuit est vraiment tombée, je me suis levé pour régler l’addition, et nous sommes retournés à la voiture. Nous ne sommes pas allés bien loin cependant. J’ai simplement traversé le petit pont qui nous menait sur l’île. Un lampadaire, à la lumière faiblarde, éclairait partiellement une partie de l’île où quelques personnes étaient posées en fumant et en buvant quelques bières. Des voitures y étaient garées, mais j’ai préféré m’avancer un peu plus loin, du côté où aucun lampadaire n’éclairait quoi que ce soit. En arrivant là où je voulais arriver, mes phares ont rapidement éclairé quelques personnes qui traînaient ça et là. — Où est-ce qu’on est ? m’a demandé Julie. — L’Ile Barbe ! Un haut lieu de la vie nocturne lyonnaise, ai-je répondu avec un sourire. — C'est-à-dire ? m'a-t-elle alors demandé avec un brin de scepticisme dans la voix. — Tu verras bien. J'ai garé la voiture et, une fois sorti, je l'ai contournée pour ouvrir la portière de Julie, qui visiblement n'osait pas. — Tu n'as pas à avoir peur, lui ai-je dis en lui donnant la main. Je suis là, et tout va bien ! Dernière chose, cependant... Et j'ai attrapé dans la boîte à gants une laisse en cuir noir, que j'ai attaché au collier de Julie. Celle-ci ne s'en est pas offusquée. Sûrement s'y attendait-elle lorsque j'ai attaché le collier autour de son cou. Pour finir, j'ai déboutonné deux ...
    ... boutons de son chemisier, agrandissant outrageusement son décolleté. — Maintenant tu es prête. Allons-y. Sans attendre de réponse, j'ai tiré sur la laisse, et ai emprunté un petit chemin à travers les fourrés. Sur la route, nous avons croisé quelques personnes, dont nous distinguions plus les formes qu'autre chose. A droite, un homme se masturbait, seul, sûrement en train de regarder le couple, à gauche, en pleine action, la main de monsieur sous la jupe de madame. Deux autres hommes nous suivaient, ayant remarqué le collier et la laisse de Julie. Par-ci, par-là, des couples ou des personnes seules se baladaient nus, batifolaient, se branlaient ou baisaient carrément. Le temple de l'exhibitionnisme et de l'échangisme outdoor se trouvait sur cette île. Nous avons marché encore quelques mètres, et quitté le chemin pour rejoindre une pelouse vide. Les deux hommes nous suivaient toujours. — A genoux, ai-je alors ordonné à Julie. Elle s'est exécutée un peu fébrilement mais s'est exécutée. Les deux hommes se rapprochaient de plus en plus, jusqu'à être face à nous. — Jolie chienne, a dit l'un d'eux. — On peut en profiter ? a demandé le deuxième. — Vous pouvez vous branler dessus, ai-je répondu. Julie m'a regardé, un peu surprise et inquiète du sort qui lui était réservé. — Elle adore le sperme, ai-je continué en la regardant. N'est-ce pas ? — Oui... oui Monsieur. Aussitôt, les deux hommes ont sorti leurs sexes sans demander leur reste, et ont commencé à l'agiter face à Julie. Je lui ai ...