Un vieux fantasme assouvi - Histoires de Sexe

Un vieux fantasme assouvi

... se relâcha. Elle venait d’avoir son troisième orgasme. Je me laissai retomber à ses côtés, heureux et comblé par ce merveilleux moment d’amour qu’elle m’avait offert. Mon amante me fit un doux sourire tout en déposant un tendre baiser sur mes lèvres. — Merci, beau brun, me chuchota-t-elle. Tu m’as fait jouir comme rarement je n’ai joui. Voilà le genre de compliment qu’un homme aime à entendre d’une jolie femme. — Pour tout dire, toi aussi tu m’as fait connaître le nirvana. Tu sais que tu es une fille très chaude, un vrai volcan !— Et toi, tu n’as pas ton pareil pour faire entrer le volcan en éruption. Pendant que Géraldine et moi laissions retomber petit à petit notre excitation, l’autre couple, lui, était encore en pleine action. Stéphane était maintenant assis sur une chaise et mon épouse l’avait enfourché, s’empalant sur son sexe. Elle se faisait coulisser dans un mouvement de haut-en-bas, la tête en arrière et les yeux fermés. Râlant de plaisir, elle semblait être dans une complète extase. Lui, pendant ce temps, malaxait les seins de son amante, ne cessant de porter un regard pour le moins lubrique sur ce corps nu. C’était la première fois que mon épouse prenait du plaisir avec un autre sous mes yeux, mon meilleur copain de surcroît. J’en éprouvais un étrange sentiment mêlé à la fois d’une grande gêne, d’une terrible jalousie, mais aussi d’une très forte excitation. D’ailleurs, devant ce spectacle, mon sexe commençait à reprendre de la vigueur. — Je crois qu’elle prend ...

... son pied ta petite salope de femme, me déclara Géraldine, elle aussi fascinée par le spectacle que nous donnaient nos conjoints.— Oui et ça me fait tout drôle de la voir baiser avec mon meilleur copain.— Et à moi donc… Mais je suis quand même fière de voir comme mon chéri sait si bien emmener ta petite salope de femme au septième ciel.— Dis donc, en matière de petite salope tu te poses là, toi aussi ? Hein ma belle, rétorquai-je à mon amante ! Elle me fit un sourire coquin. — Moi qui te croyais sérieuse… En fait t’es une vrai petite putain qui aime la queue !— J’aime quand tu me traites de pute. Ça m’excite !… Surtout quand tu me baises. Ma femme se retira de Stéphane et vint s’allonger sur le lit près de Géraldine et moi. Heureusement que nous avions un grand lit où l’on tenait facilement à quatre. À croire que nous avions déjà prévu cette situation. Ma belle épouse semblait déjà comblée, pourtant, elle appelait toujours son amant. — Baise-moi, s’exclama-t-elle en écartant largement les cuisses, découvrant la légère pilosité de son pubis. Véronique m’avait un jour demandé pour s’épiler totalement, mais je n’aime pas voir un sexe totalement glabre. Je lui avais dit que je préférais qu’elle garde une petite toison en forme de rectangle. Ce qu’elle a fait pour mon plus grand bonheur. — J’ai encore envie de ta queue, continua-t-elle ivre de sexe… Dépêche-toi, j’en peux plus. Viens ! Stéphane, on s’en doute, ne resta pas de marbre à cet appel. Il vint couvrir mon épouse, la pénétra ...