1. Un vieux fantasme assouvi


    Datte: 10/08/2018, Catégories: 2couples, extraoffre, copains, danser, Oral pénétratio,

    ... lentement jusqu’à ce que son membre disparaisse complètement. Puis il le ressortit complètement, laissant son gland juste en contact avec les lèvres intimes de sa partenaire. Il resta ainsi quelques secondes afin de la faire attendre. Puis soudain il la pénétra à nouveau, mais cette fois d’un mouvement rapide. Son amante, surprise, poussa un cri de plaisir… Puis il ressortit à nouveau et encore la fit attendre… Ma femme n’en pouvait plus. — Viens. Qu’est-ce que t’attends ?— Tu vas voir, petite catin, lui cria-t-il ! Alors la pénétrant à nouveau avec force et il se mit à la pilonner avec une vigueur extrême. Mon épouse était aux anges. Elle criait son plaisir tout en tendant son corps. — T’aime ça hein, jolie putain, lui cria encore Stéphane !— Oh ouiiiiii ! Le langage cru de mon copain, ma femme totalement soumise à sa volonté, tout cela m’excitait à tel point que mon sexe avait retrouvé la forme. Géraldine s’en aperçut, le saisit et, le masturbant légèrement, me dit : — Ça t’excite, hein, de voir ta femelle faire la pute !— Comme elle est belle quand elle jouit, répliquai-je ! Bientôt, ils atteignirent tous deux l’orgasme dans des cris de folies, puis mon copain se laissa retomber sur le côté, fourbu mais heureux. — C’était formidable, s’exclama-t-il dans un soupir. Tu es une amante merveilleuse, Véronique. Puis s’adressant à moi : — Ta femme est une vraie professionnelle de l’amour… et quelle suceuse ! Je vais te dire une bonne chose mon cher Jean, continua-t-il, ta femme ...
    ... c’est la première fois que je la baise, mais j’peux te dire, c’n’est pas la dernière !— Oh, la tienne n’a rien à lui envier. Jamais je n’aurais jamais imaginé que ton épouse, que je croyais timide et réservée, puisse exploser comme un volcan dans les bras d’un homme ! J’ai pris un pied monstrueux !— En fait, continuai-je, figure-toi que ça fait déjà des années que je fantasme sur ta jolie Géraldine… Depuis le début, depuis la première fois que je l’ai vue, je rêvais de la baiser.— Mon salaud, t’avais bien caché ton jeu… ! Puis il poursuivit : — Tu sais que c’était pareil pour moi. Ta Véronique, je la trouvais tellement belle que j’en rêvais la nuit, ne pensant plus qu’à une chose, la sentir au bout de ma queue.— Bon, ça va les mecs, interrompit ma femme. Et nous là-dedans ? On compte pour du beurre ? Nous aussi on a notre mot à dire, pas vrai Géraldine ? On n’est pas des objets.— T’as raison, continua Géraldine. Nous aussi on a notre mot à dire… Elle hésita : — Ceci dit, je dois dire que ton mari ne me laissait pas indifférente… Qu’est-ce que tu veux, j’aime les grands bruns… Et ton Jean est un sacré bel homme, puis jetant un regard gourmand sur ma bite encore en érection,… et drôlement bien monté !— Puisqu’on en est à l’heure des confidences, continua ma femme, Stéphane non plus ne me laissait pas indifférente. Lui aussi est bel homme et il m’est arrivé quelquefois de m’imaginer m’abandonner dans ses bras… Moi aussi, tu t’en doutes, j’aime les grands bruns biens montés. Nos ...