1. Première rencontre avec Mademoiselle Daphnée


    Datte: 11/08/2018, Catégories: hplusag, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme chaussures, nopéné, portrait, fsoumisah, vêtements,

    ... coiffeuse : ustensiles de manucure, maquillage, huiles et parfums. Sur un côté, la porte coulissante du dressing était ouverte. Les parures indispensables aux premiers offices de ma secrétaire étaient rangées par longueur ou activité. D’un côté, les corsages, les tops, les jupes, les tailleurs, les robes ; de l’autre, les étoffes soyeuses et transparentes des nuisettes et des déshabillés : tulle, mousseline, dentelle, soie, satin, noir, marron, blanc ou rose ; des tenues plus spécialement destinées au service nocturne du Manoir – pour les soirs où Daphnée serait retenue par des dossiers urgents. Du reste, elle ne parut pas surprise de découvrir ces tenues. Elle s’était assise sur le sofa et restait silencieuse, examinant avec attention le dressing. Elle ne manifestait aucun signe d’anxiété ; plutôt un intérêt croissant. Tout cela, en réalité, devait lui paraître normal : elle n’ignorait pas qu’une secrétaire vertueuse doit être correctement apprêtée pour travailler. Se redressant, elle prit l’initiative d’inspecter les parures, tout à son aise. Elle examina très consciencieusement chaque article, avec lenteur. De temps à autre, elle sortait des vêtements pour en contrôler la longueur sur son corps, détailler la transparence, le lissé ou le soyeux des étoffes. Au pied de la penderie se trouvaient les chaussures, toutes à talons hauts : des escarpins à brides, d’autres fermés par des lacets, des sandales, et – même si la fonction d’assistante ne l’exigeait pas expressément ...
    ... – diverses paires de bottines et de bottes, noires, blanches, marron, roses, en cuir ou vernies. Daphnée considéra la variété des coupes, la finesse des cuirs et se montra satisfaite de la hauteur des talons. Elle semblait impatiente d’essayer les modèles. J’avais compris lors de nos entretiens téléphoniques qu’elle adorait les chaussures. Quelques modèles avaient été livrés en fin de matinée ; d’autres devaient encore arriver pendant la semaine. Ouvrant les tiroirs de la commode où j’avais rangé les bas et la lingerie, j’attirai son attention sur les couleurs et les matières qu’elle devrait porter en fonction des tâches qui lui serait données : prise en note du courrier, saisie des factures, appels téléphoniques, suivi des dossiers. Elle s’approcha. Une main posée sur le plateau de la commode, l’autre sur une hanche, la taille cambrée, elle admira en silence l’exhibition de dentelles et de satin qui s’offrait sous ses yeux. Je dois avouer que le plaisir qu’elle manifesta pour les ensembles que j’avais choisis me rassura un peu. Elle sortit avec précaution les porte-jarretelles qu’elle trouva en premier : la plupart étaient en dentelle très fine, échancrés sur les hanches, avec un volant en satin ou en soie sur la ceinture. Rouge, noir, marron, blanc, et de différentes couleurs vives ou pastels ; il y avait aussi des motifs imprimés, qu’elle découvrirait plus tard. Elle considéra les strings et les tangas avec la même attention. Les deux tiroirs inférieurs renfermaient les ...
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