1. Première rencontre avec Mademoiselle Daphnée


    Datte: 11/08/2018, Catégories: hplusag, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme chaussures, nopéné, portrait, fsoumisah, vêtements,

    ... accessoires, comme les bas – presque tous à couture – et les paires de gants, assorties aux pièces de lingerie. Daphnée retourna vers la penderie, dont elle ouvrit complètement le panneau coulissant. Les guêpières étaient pendues sur leur cintre à gauche. — Je me suis demandé de quoi vous auriez le plus besoin dans l’immédiat. Alors, j’ai acheté un peu de tout. Il était impératif que vous preniez vos fonctions dès aujourd’hui. Les dossiers doivent être classés pour demain matin.— Ça me fait grand plaisir, Monsieur ! C’est tout à fait à mon goût. Monsieur ne s’est pas trompé dans ses choix, ce sont les parures qui conviennent le mieux à une assistante fidèle, Monsieur.— Il est tout à fait essentiel que vous soyez impeccable.— Je comprends, Monsieur. Il faut strictement réglementer les tenues de sa secrétaire. Je vais m’appliquer à ce que chacune de mes toilettes soit conforme à mes obligations de service. Au début, Monsieur n’aura qu’à me dire ce que je dois porter pour chaque travail, et aussi souvent qu’il le voudra. Ce sera un plaisir de le satisfaire.— Je vous laisse vous habiller. Vous servirez le thé à 17 heures. Mon cabinet de travail est à l’étage, deuxième porte à gauche, en haut des escaliers. La bibliothèque se trouve en face de votre bureau. La cuisine et les dépendances sont au rez-de-chaussée. Vous y trouverez divers thés. Eau frémissante.— Monsieur sera servi à l’heure, Monsieur. En regagnant ma chambre, je me dis que c’était une bonne journée. Je pouvais ...
    ... espérer que Daphnée s’habitue rapidement au Manoir. Si j’en croyais son enthousiasme, je n’avais aucun mal à imaginer combien elle serait heureuse de me servir. La perspective me plaisait autant qu’à elle. Je restai un moment songeur… À la fin de ma rêverie, je passai rapidement un pantalon et une chemise de lin, après m’être douché, puis je regagnai mon bureau où je repris le classement des papiers du Manoir. À seize heures, j’entendis une porte se refermer et les talons de ma secrétaire sur le parquet. Le bruit régulier se rapprocha, puis s’arrêta derrière la porte de la bibliothèque. Daphnée frappa après un instant. — Je suis prête, Monsieur. Elle fit deux pas à l’entrée de la pièce. — Cela convient-il à Monsieur ? Sur le moment, je ne sus que répondre. Je contemplai ma nouvelle secrétaire. Elle se tenait droite, immobile, sans doute un peu inquiète pour une première fois. Sa pose ne trahissait cependant aucune gêne. Les bras le long du corps, la tête légèrement inclinée, elle attendait ma réaction. Je demeurai pantois. Et incapable d’articuler le moindre mot. D’un geste posé, elle se plaça de profil devant le chambranle de la porte. Je pus de la sorte étudier sa parure merveilleuse. J’étais déjà rassuré. Sa contenance, la facilité de ses gestes, la réserve qu’elle affichait d’entrée de jeu me faisaient mieux comprendre son insistance pour obtenir cet emploi deux semaines plus tôt. Elle semblait vouloir m’indiquer, une fois pour toutes, qu’elle envisageait la vie d’assistante ...
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