Première rencontre avec Mademoiselle Daphnée
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
chaussures,
nopéné,
portrait,
fsoumisah,
vêtements,
... dans la stricte observance des règles qui en commandent la fonction, et qu’elle n’aurait de cesse dorénavant de l’incarner au plus haut point, avec constance et détermination. Sa toilette avait été choisie avec un sens remarquable de la mesure. Elle avait adopté une tenue inspirée : une jupe noire, courte, très serrée sur le ventre, avec de fines rayures rouges - bordeaux plus exactement ; sous le cardigan en laine blanche, on devinait une ceinture à large boucle et une guêpière en dentelle rose ; dépassant de quelques millimètres sous la jupe, une surpiqûre rouge délimitait le revers des bas noirs, dont la couture divisait en leur milieu les jambes ; à ses pieds, des sandales en cuir ; un ruban de satin noir était noué sur les chevilles et les treize centimètres de talons aiguilles rehaussaient ses hanches et la forme parfaitement dessinée des fesses. Des gants courts – elle m’avait dit les aimer ainsi – en dentelle noire dissimulaient ses mains, sans rien cacher toutefois du vernis rouge vif des ongles. Serrée à son cou, une chaînette en or portait en lettres cursives l’inscriptionSalope. Enfin, alors qu’elle aurait dû porter les lunettes nécessaires à l’étude des dossiers qui l’attendaient dans son bureau, elle avait choisi pour l’heure de faire entièrement disparaître son visage sous une voilette en tulle noir. Ce geste de soumission me parut de circonstance ; il témoignait de sa docilité et de son entier dévouement à mon service. Le voile épousait la forme des joues et ...
... reposait sur le nez et la bouche, ne laissant qu’un mince espace entre les lèvres et le tissu vaporeux ; à chaque respiration – ou lorsque Daphnée parlerait par la suite – il se soulevait délicatement, avant de retomber sur la bouche, recouverte d’un rouge écarlate ; fixé sur un chignon, il descendait jusqu’aux épaules. Les yeux de ma secrétaire se détachaient sous les mailles serrées et me fixaient avec intensité. — Monsieur désire-t-il que je m’approche pour inspecter ma tenue ? Il m’importe que Monsieur me dise dès maintenant ce qui ne va pas. Qu’il corrige mes choix encore maladroits. Je regardai sa bouche sous la voilette. Elle articulait chaque mot. Ce qui l’obligea plusieurs fois à passer la langue sur ses lèvres pour les décoller. Sa voix était humide et chaude. Maintenant, elle mordillait sa lèvre inférieure sur un côté. J’acquiesçai en silence. Elle s’approcha. Je ne bougeai pas. J’étais rivé à mon fauteuil, muet. Daphnée avançait à pas de loup. Ses talons hauts et la jupe appliquée sur ses cuisses l’obligeaient à surveiller sa marche et l’amenaient à se déhancher avec grâce. Ses talons s’entendaient à peine sur le parquet. Elle prenait son temps, pour ne rien précipiter, et souriait fièrement. À quelques pas de moi, elle se retourna brusquement. Je vis alors l’arrière de la jupe, que je n’avais pu que deviner jusqu’à présent. Une fente centrale dévoilait le plat des cuisses et le revers des bas. Elle écarta les jambes pour tendre la jupe : rehaussés par les treize ...