1. Ma toute première fois


    Datte: 28/07/2017, Catégories: ff, douche, volupté, Masturbation intermast, Oral init,

    ... deux cabines plus loin, comme des doigts qui fouilleraient une chatte, et des petits soupirs de plaisir. Rien que le fait d’y penser et d’imaginer cette rondouillarde en train de se donner du plaisir, j’en suis toute excitée, je me masturbe fébrilement en pensant à cette blonde à longue crinière. Je suis comme stimulée par sa perversité. Pourquoi a-t-elle laissé sa porte entrouverte ? C’est quand même bien pour qu’on la regarde ! Ma main descend le long de mon ventre pour aller trouver ma chatounette. Je l’imagine à deux pas, en train de faire tout comme moi, les doigts sur son clito. Je suis hyper-excitée, il ne me faut pas beaucoup de temps pour trouver mon plaisir, je jouis avec intensité avant de prendre une longue douche glacée pour me rafraîchir les idées. Quand je ressors, elle n’est plus là, j’en suis presque rassurée. Deux jours plus tard, je l’aperçois à nouveau sur la plage, elle est en famille avec ses parents, ses frères, sa grand-mère. Ils sont à quelques mètres de nous, ils parlent tous allemand. Ils rient fort et grassement, comme des malappris un peu primates. À plat ventre sur ma serviette, je n’arrête pas de la zieuter, elle est étendue sur le sable, ses gros seins exhibés négligemment au soleil. Evidemment, tous les mecs qui passent par là y jettent un petit coup d’œil, mais elle prend soin à chaque fois de les fusiller du regard. On dirait qu’elle n’aime pas les hommes, elle les toise de façon dédaigneuse. Je regarde à nouveau son ventre, aucun doute ...
    ... possible, elle est bien enceinte. Peut-être ce garçon qui l’a fécondée l’a-t-il fait souffrir ? Peut-être l’a-t-il laissée tomber. J’ai comme envie de la prendre dans mes bras pour la consoler. Peut-être préfère-t-elle tout simplement les femmes ? À cette idée, mon bas-ventre s’humidifie de suite comme si je l’espérais. Il ne faudrait surtout pas que mes copines s’aperçoivent de mon trouble et encore moins de mon manège. J’essaie de regarder ailleurs pour me changer les idées. J’ai honte de ce désir inavouable, j’ai presque envie de pleurer tellement je me sens fautive, je suis quelque part « anormale ». Je pique du nez sur la serviette et je ferme les yeux, mais cela n’a pour effet que de me remplir la tête de ce que j’ai vu ce soir-là dans la cabine de douche. Je repense aux caresses qu’elle se prodiguait et à mon désir trouble. Quand je regarde à nouveau dans sa direction, je remarque qu’elle s’est tournée vers moi et qu’elle me dévisage gentiment avec un regard interrogatif. Je baisse aussitôt les yeux, très gênée par cette situation. Quand je relève à nouveau la tête, elle me regarde toujours, un peu fière et hautaine, en tout cas sûre d’elle et dominante. J’ai de suite l’impression qu’elle a jeté son dévolu sur moi. Je me sens comme une petite proie sous les férules de Diane chasseresse. Pitié ! Je vous en supplie, je ne veux pas être lesbienne : je suis assaillie par un mélange de sensations désagréables et de désirs honteux ! Elle me regarde avec un sourire énigmatique où ...
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