Ma toute première fois
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
ff,
douche,
volupté,
Masturbation
intermast,
Oral
init,
... je ressens une légère ironie, j’ai l’impression qu’elle lit en moi comme dans un livre, qu’elle dévoile mon homosexualité latente au grand jour, cela a pour effet de me mettre très mal à l’aise. Je suis heureuse quand mes copines décident enfin de quitter la plage… Quand je me lève, je sens encore son regard peser sur moi. J’ai l’impression qu’elle mate mes fesses. Je fais tout mon possible pour ne pas trop me déhancher, pour qu’elle ne me considère pas comme une petite allumeuse, mais je prie aussi pour qu’elle ne me trouve pas trop moche. J’ai presque envie de lui plaire. Le soir même, alors que nous sommes en train de picorer devant nos tentes, je la remarque à nouveau dans l’allée. Elle s’est arrêtée près d’un arbre à quelques mètres et regarde dans notre direction. Je fais mine de rien, j’ai envie qu’elle s’en aille, qu’elle me laisse tranquille avec mes copines, c’est d’ailleurs ce qu’elle finit par faire. Vivement que ces vacances finissent ! Je m’en veux de l’avoir regardée ainsi sur la plage. Maintenant que croit-elle, cette gouinasse ? Que je vais me jeter dans ses bras ? Que nous allons jouer à broute-minou ? Moi, madame, je ne mange pas de ce pain-là, je ne suis pas une anormale. Mais tout ceci ne m’empêche pas de me caresser dans mon duvet, un peu plus tard dans la soirée, tandis que Caroline ronfle comme une bienheureuse à mes côtés. Si elles apprenaient ça, mes copines, que je ne suis en fait qu’une sale gouine ! J’imagine déjà que ça fait le tour de la ...
... classe, que tout le lycée est au courant, je ne suis pas prête à cette idée… Le lendemain, je prétexte une petite fièvre pour rester toute seule sous ma tente. Je tourne en rond dans mes idées noires. Je ne suis peut-être pas vraiment lesbienne, mais je me suis quand même masturbée en pensant à cette fille ! Je me mets à pleurer, je n’en peux plus de sangloter comme une madeleine devant le sort qui s’acharne sur moi. J’ai tellement envie d’amour, tellement besoin de câlins : tout ça c’est la faute aux mecs, s’ils s’intéressaient un peu plus à moi, je pourrais être plus normale. Mais qu’est-ce qu’ils leurs trouvent donc à mes pouffiasses de copines ? Elles sont bien foutues, elles ont de jolis visages, de mignons petits seins, de belles paires de fesses. Et moi je ne suis qu’une gourdasse insipide, sans attrait et sans peps ! Invariablement, j’en reviens à mon allemande, j’imagine qu’un salaud de dragueur l’a mise en cloque avant de la quitter sans demander son reste. Elle a dû beaucoup souffrir, la pauvre, c’est pour cela qu’elle aime les femmes… Comme je la comprends ! Il y a toujours une explication à toute chose, et les hommes sont souvent responsables de notre état. Le soir venu, nous sommes sept devant les tentes autour d’une sangria improvisée, même mon amie Caroline s’est trouvé un petit copain, un grand rouquin qui a l’air un peu niais. Je suis désormais la seule à tenir la chandelle. Ils rient tous beaucoup, imbibés par l’alcool, leurs petits bisous à la dérobée me font ...