Ma toute première fois
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
ff,
douche,
volupté,
Masturbation
intermast,
Oral
init,
... j’aimerais qu’on me fasse et je mets tout mon cœur à bien la lécher, Beaucoup plus attentionnée que lors de mes premières fellations, à l’écoute de la moindre sensation de ma compagne, peut-être parce que c’est une fille et qu’elle est plus sensuelle, peut-être parce que c’est important pour moi de bien réussir cette expérience. Elle me caresse doucement la tête, je suis heureuse de lui faire plaisir. Sa jouissance est soudaine, brutale, inattendue pour moi. Je n’avais pourtant pas l’impression de l’avoir mise dans un tel état. Je saisis ses fesses, je sens qu’elle se cabre, sa jouissance me procure un plaisir intense, une vraie révélation pour moi. Je continue un long moment à la lécher, à l’embrasser partout, la moindre petite caresse lui arrache des soupirs de plaisir. Elle m’invite enfin à me redresser. Nous nous embrassons à nouveau, cette fois très tendrement. — What’s your name ?— Clémence.— Sehr schön ! Very nice ! Très joli ! Me, it’s Elfriede ! Elle éclate de rire. — I don’t speak French and you don’t speak German, but I love you, Clémence, I love you very much, Clémence. Clémence chérie. Elle s’amuse à répéter mon nom, le sien est plus ardu pour moi. La voici encore qui me caresse. Je suis à fleur de peau, je me sens incroyablement sensuelle, probablement plus que je ne l’ai jamais été. J’ai le feu entre les cuisses, elle le sent, elle le comprend, ses doigts glissent dans ma toison brune trop fournie, elle me touche avec une grande douceur. Mais je suis ...
... hors de moi, j’ai envie d’une grande jouissance, j’ai envie de tout, j’ai besoin de ses doigts en moi. Instinctivement j’écarte les cuisses, ses doigts glissent en moi, dans ma caverne humide. C’est si bon, j’en ai tellement envie ! Elle me touche comme j’ai envie, à la fois avec force et avec douceur. Je ferme les yeux pour profiter de ses caresses. Un peu plus tard, elle s’assoit sur le carrelage tout près du bac à douche. Je comprends que dans son état, elle ne peut pas trop s’accroupir, ni même s’agenouiller. Je m’approche alors d’elle, lui présente mon minou poilu qu’elle dévore aussitôt à pleine bouche. Aucun homme ne m’a jamais fait autant d’effet, je me sens femme-fontaine. Je sens sa langue qui lèche tout mon jus. Elle l’enfonce en moi aussi loin qu’elle peut. Elle m’investit toute entière. Je jouis et je rejouis, dévorée par ma compagne, je ne sais plus trop où j’en suis de toute cette jouissance, c’est divinement bon, elle fait durer le plaisir, je n’en peux plus du tout, j’ai les lèvres en sang tellement je me suis mordue pour ne pas crier. À bout de force, je finis par m’asseoir à côté d’elle. Elle me prend par le cou et me caresse doucement, de grosses larmes d’amour roulent sur mes joues. « Elfriede, je t’aime », j’ai envie de crier mon amour mais aucun son ne sort de ma bouche, je suis tellement bien dans ses bras. Nous restons dans notre cabine de douche encore tard dans la nuit, à nous bécoter, à nous chouchouter, à nous aimer… Les vacances approchaient ...