La cité perdue
Datte: 13/08/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
zoo,
attache,
historique,
aventure,
fantastiqu,
... ; c’est réel. Vous m’entendez ? Réel !— Raison de plus pour découvrir ce qu’il y a dans ces montagnes. J’irai, quoi qu’il m’en coûte. Ma carrière en dépend. De toute manière, seule, je ne peux pas faire de fouilles ; je veux juste faire un repérage, prendre des photos du site et des ruines pour prouver ce que j’avance, et revenir aussi vite que possible.— Vous ne savez pas ce que vous dites…— Écoutez-moi, bon Dieu ! Grâce à cela, je pourrai trouver des investisseurs pour mes campagnes de fouilles. D’après mes calculs, il me faudra moins de deux jours pour arriver sur place et jeter un coup d’œil. Deux jours aller, deux jours retour. Sur place, je ne resterai pas plus de quelques heures. Des restes de murailles, des ruines de temples, ça se voit, même dans la jungle. Il soupira. — Vous êtes folle ! Je sais que vous avez contacté un guide ; je vais lui parler. Peut-être vais-je le persuader de vous accompagner jusqu’au pied des montagnes, mais après vous serez seule, vous m’… mmmhhhhh ! Il ne put aller plus loin. Glissant le long de son ventre, la bouche de Kate venait de l’engloutir à nouveau. Sa chevelure soyeuse montait et descendait au rythme lent et régulier de sa fellation, caressant son ventre et ses cuisses tandis que ses lèvres l’enfermaient dans un fourreau chaud et humide dont il n’avait aucune envie de sortir. Bon sang, c’est cette fille qui était un monstre, un démon femelle qui allait lui pomper les couilles et le vider de ses fluides corporels comme ces araignées ...
... qui dévorent leur mâle après l’amour. Il laissa rapidement son esprit divaguer, perdu dans un océan de félicité. Lorsqu’elle vint s’empaler sur lui pour le chevaucher, guidant d’une main son sexe raidi entre ses cuisses humides, il se laissa faire, bras et jambes écartés alors qu’elle ondulait d’avant en arrière, balançant ses seins magnifiques et ses hanches au rythme d’une musique qu’elle était seule à entendre. La tête rejetée en arrière, yeux fermés et le sourire aux lèvres, mains posées sur sa poitrine, elle ne le regardait pas. Saisi par le goût âcre de la jalousie, il se demanda si elle ne s’imaginait pas avec un autre. Il lui prit la taille et lui imprima son propre rythme, la faisant coulisser de plus en plus fort le long de son membre. Quand il lui annonça qu’il allait jouir, elle se retira, le reprit dans sa bouche et l’aspira littéralement jusqu’à la dernière goutte. Quelle maîtresse ! Et bon Dieu, qu’il était excitant et flatteur de voir une fille si farouche, si diplômée, si belle – oui, belle – se donner à lui. C’était autre chose que ces call-girls russes ou nigérianes qui traînaient leur ennui et leur misère dans les quartiers diplomatiques de la capitale ! * * * Leurs négociations reprirent et durèrent plusieurs jours… et plusieurs nuits. Elle se laissa prendre dans toutes les positions possible, offrit à sa langue, ses doigts, son sexe tous ses orifices. Il accéda à tous ses caprices, toutes ses envies. Il l’avait dans la peau ; elle l’avait marabouté, lui ...