1. La cité perdue


    Datte: 13/08/2018, Catégories: fh, fffh, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, attache, historique, aventure, fantastiqu,

    ... son amant d’un soir. Elle projetait en arrière et en rythme son beau cul en même temps qu’il poussait son pieu, le mettant loin en elle. Entre deux soupirs, mélangeant swahili et français, il lui dit qu’elle était belle à mourir, et l’émotion qu’il exprimait n’était pas feinte : fasciné, il regardait jouer les muscles de ses épaules et les petites gouttes de transpiration qui ruisselaient dans le creux de sa nuque. Haletante, elle se mit à onduler sous lui et sa main fila vers son petit bouton qu’elle commença à triturer. Les gémissements se mirent à faire place à des ondes de plaisir, et soudain ce fut une nouvelle explosion. Ils crièrent tous deux dans un orgasme ravageur et plongèrent rapidement dans un sommeil profond. * * * Ils se réveillèrent quelques heures plus tard, leurs corps collés par la transpiration. Pour Kate, l’expérience avait été singulière. Ses copines de fac lui reprochaient de ne jamais succomber le premier soir, et voilà qu’elle s’était conduite comme une femelle en chaleur : une honte pour des générations de féministes ! Pour lui aussi le choc était là. Le cœur battant, la tête en feu, il se rendait compte qu’il n’avait aucune envie de quitter un lit si hospitalier et un corps aussi accueillant. C’était indéniablement un bon coup. Peut-être même le coup de foudre. Mais vu la facilité avec laquelle on pouvait perdre la vie dans cette contrée, c’était un bien grand mot dont il fallait se méfier. En tout cas, il voulait la revoir. Et vivante. Il se tourna ...
    ... vers elle. Elle somnolait, couchée sur le ventre. Son regard parcourut la silhouette élancée de son corps, s’attardant sur l’adorable chute de reins cachée à moitié par le drap blanc. Aussitôt il pensa à un suaire. L’espace d’une seconde, il la vit allongée, nue, froide, immobile dans l’obscurité glacée de la mort. Il l’enlaça, ému par sa détermination et sa folie. — Kate, vous devriez renoncer à cette idée.— Pas question. Et vu ce qui s’est passé, on peut se tutoyer, non ? Il lui sourit. Mais tristement. Une ombre voilà son regard. — Navré ; j’ai un indécrottable reste de bonne éducation. Écoutez-moi bien parce que votre vie est en danger. J’ai menti tout à l’heure : ce ne sont pas des chimères, il y a bien quelque chose dans ces montagnes. Pendant la guerre, j’étais dans un groupe d’élite, les Simbas. Nous n’avions peur de rien, ni de Dieu, ni du diable. Mais là-haut, un jour, nous avons retrouvé les restes d’un campement de trafiquants. Nous les traquions depuis des semaines. Quand nous avons déboulé en hurlant à l’aube pour les surprendre dans leur sommeil, nous sommes restés tétanisés. Je n’avais jamais vu une pareille scène : tout avait été détruit, pillé ; quant aux occupants…— Des massacres, il y en a dans toutes les guerres. Vos hommes et vous avez dû en voir d’autres.— Pas comme ça ! Ces types avaient été mis en pièces : ce sont des bêtes qui avaient fait ça, pas des êtres humains. Il y a des monstres qui rôdent, là-haut. Il ne s’agit pas de contes pour les enfants ...
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