1. La cité perdue


    Datte: 13/08/2018, Catégories: fh, fffh, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, zoo, attache, historique, aventure, fantastiqu,

    ... prisonnière. Au coucher du soleil, un cortège vint en procession devant ses appartements. Des prêtres et des prêtresses, à en juger par leurs vêtements. Elle fut amenée une nouvelle fois à se mettre nue. On la fit s’allonger sur une couche. Elle avala une curieuse potion au goût amer. Une prêtresse lui écarta les jambes et enfonça dans son sexe un long phallus d’ébène qu’elle fit entrer et sortir au son d’une mélopée entêtante, celle qu’elle avait déjà entendue lors de sa première rencontre avec les chasseurs. Alors qu’elle commençait à gémir, une autre prêtresse lui enfonça un second phallus court et épais dans la bouche. Une feuille de palmier recouvrit ses yeux et elle se sentit soulevée, promenée dans les airs de bras en bras jusqu’à ce qu’on la repose à terre. Un prêtre la fit asseoir en tailleur sur une plate-forme, elle-même disposée sur la vaste terrasse du temple qu’elle avait vu l’après-midi. Elle surplombait la cour où une foule en transe chantait et dansait. Ouvrant des yeux ronds, elle vit un « gardien » gravir lestement les escaliers dans sa direction. Une des prêtresses enleva le phallus de bois enfoncé dans sa bouche et elle sentit un liquide au goût ambré cette fois couler dans sa gorge. Aphrodisiaque ? Hallucinogène ? Le fait est que la bête qui s’avançait sur la plate-forme au milieu des vapeurs de myrrhe et d’encens se mua soudain en le plus bel homme qu’elle ait jamais vu. Il la regardait en souriant, arborant une impressionnante érection. La prêtresse ...
    ... face à lui entonna un chant aux paroles explicites au milieu de la liesse populaire. Comme par magie, Kate en comprenait chaque mot : « Prends-moi ! N’aie pas peur ! Bande sans crainte ! Par ordre d’Ishtar, de Shamash, d’Ea et d’Asalluhi. Quant à moi, à ma vulve, tertre rebondi, moi, jouvencelle, qui me labourera ? Ma vulve, ce terrain humide que je suis, moi, reine, qui y mettra ses bœufs de labour ? Lorsque, pareil à un bateau élancé, tu auras porté la vie, lorsque tu m’auras caressée sur le lit, alors je te caresserai et te décréterai une destinée heureuse. » D’un signe de la main, la prêtresse désigna la belle archéologue. Le jeune homme vint se placer à ses côtés. Elle tourna la tête et d’elle-même avala la lourde verge qu’il lui présentait. À un rythme de plus en plus rapide, il enfonçait son membre dans sa bouche ; elle le sentait encore durcir et grossir au fur et à mesure que grimpait son plaisir. Elle s’attendait à le sentir jouir mais il s’écarta soudain sur une injonction de la prêtresse. Il la fit s’allonger sur la couche nuptiale et vint alors se placer entre ses cuisses écartées. Maîtrisant son excitation, il la pénétra lentement sous les acclamations du peuple. Kate rejeta la tête en arrière, gémissant de plaisir. La sensation était extraordinaire. Le guerrier l’avait saisie aux hanches et l’avait retournée. Maintenant il la besognait comme un bûcheron, en levrette, grognant à chaque coup de reins et s’enfonçant plus fort, plus loin à chaque poussée. Sa semence ...