1. Soirée allemande


    Datte: 13/08/2018, Catégories: fh, hotel, intermast, Oral pénétratio, groscul, fsodo,

    ... repas à prendre un verre, une bière en l’occurrence, et avec les autres personnes présentes à la table nous sommes allés au bar. Je ne sais comment la conversation et venue à la musique, et pourquoi Ludwig fit référence à l’accordéon. Et puis de fil en aiguille, la bière aidant, je proposais de jouer un morceau — Ach Ja ! Spielen Sie Musik ! Dirent-ils en cœur (Jouez de la musique) Je demandais à voir le patron, et celui-ci m’accompagna dans l’escalier, prit avec une facilité déconcertante cet instrument, ce modèle assez ancien pesait bien ses douze kilos, et m’aida à passer et à régler les bretelles. Je lançais quelques notes pour le prendre en main, puis revenant vers le bar j’y fus accueilli par un tonnerre d’applaudissements ! Je commençais par jouer quelques valses, puis un tango. À chaque fois l’assistance m’encourageait, et à plusieurs reprises, le barman me faisait des signes pour m’indiquer que l’on venait de m’offrir un verre ! Si j’avais du tout boire, j’aurais pissé toute la nuit et au-delà ! Mais cela était fait avec générosité et dans la bonne humeur. Je me rappelais aussi que mon second professeur d’accordéon était Alsacien, et m’avait fait travailler pas mal de mélodies de son pays ; aussi je commençais par une valse qu’il m’avait apprise, et ce rythme, proche de la musique d’outre Rhin sembla subjuguer une partie de l’assistance. Je me lançais alors dans un enchaînement de ces musiques, et même certaines que j’avais simplement entendues dans des tavernes ...
    ... lors de mon service militaire et qui firent un effet à certaines personnes de l’assistance : une des femmes se leva, et vînt m’embrasser, et se mit à chanter, moi l’accompagnant, sous les flashes de quelques un de ses amis ! La soirée s’avançait, et l’ambiance allait crescendo, tant et si bien que vers onze heures, le patron qui était aux cuisines vînt et semblait très heureux de voir l’ambiance qui régnait alors dans son établissement. Il s’éclipsa, et revînt avec quatre ou cinq bouteilles de champagne ! — C’est la tournée du patron !dit-il Je traduisit ceci en allemand, et les « Prosit » fusèrent, entrecoupés de notes de musique. C’est au cours de cet épisode « Champagne » que je sentis la main de la « chanteuse » qui s’était posée sur mon épaule, se crisper légèrement à deux ou trois reprises. Sur le moment je n’y prêtais guère d’attention mais à la fin du morceau suivant, elle m’embrassa à nouveau et me dit quelque chose à l’oreille que je ne compris pas, mais son regard avait tout dit ! Je m’étais fait draguer sans m’en rendre compte ! Dès lors je n’eus d’yeux que pour elle, et elle le sentit aussi ! Elle devait avoir la cinquantaine, encore assez bien conservée, une forte poitrine et un fessier de teutonne ! Mais un visage avec des traits très fins, et un regard à faire bander un impuissant ! L’heure avançait et de temps à autres des gens se retiraient, non sans m’avoir salué, et j’eus droit ce soir-là à de nombreuses bises de la part des femmes du groupe. Croisant leur ...
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