1. Soirée allemande


    Datte: 13/08/2018, Catégories: fh, hotel, intermast, Oral pénétratio, groscul, fsodo,

    ... regard je sentais aussi, dans certains d’entre eux, une forme d’affection que j’aurais bien aimé mener plus en avant…Puis Greta, c’était le nom de la chanteuse, me fit comprendre qu’elle aussi aimerait se retirer, et j’avais compris depuis longtemps qu’elle n’avait pas l’intention de finir seule sa nuit. Après avoir bu une dernière coupe, je déposais l’instrument que le patron se proposa de ranger. — Cela fait plus de dix ans qu’il n’y avait pas eu une telle ambiance ici ! Merci ! Lorsqu’il dit ceci, je sentis dans sa voix une certaine émotion et après lui avoir serré la main qu’il me tendait, je montais. Greta m’attendait sur le palier du premier étage, et dès que je fus à sa hauteur, elle se jeta littéralement sur moi, et m’embrassa avec fougue. J’avais du mal à reprendre mon souffle, si nous avions continué ainsi, nous aurions baisé sur le palier ! Finalement, nous avons opté pour ma chambre qui était au second, la sienne étant au quatrième. A peine entrés j’eus droit à nouvelle séance de baisers, prodigués avec un tel savoir faire qu’ils me donnaient envie de la prendre dans les plus brefs délais ! C’est elle qui prit l’initiative, déboutonnant son corsage, et extrayant elle-même de son soutien-gorge ses seins opulents de couleur blanche, comme du lait. Je les lui suçais sans qu’elle m’y invite, et cela semblait l’exciter prodigieusement, ses tétons que je prenais alternativement entre mes lèvres, les mordillant légèrement étaient durs comme de la pierre, mais très ...
    ... réactifs à mes câlineries. Pendant tout ce temps, je la sentais occuper à faire glisser sa jupe, puis son jupon, ne gardant que sa culotte, puis elle s’occupa de mon pantalon, de mon slip pour en extraire ma queue tendue et impatiente d’en découdre avec la teutonne ! A peine l’eut elle en main qu’elle s’éloigna un peu de moi, et se penchant dessus se mit à me sucer avec ardeur, seules mes mains continuant à lui caresser ses seins. Je me décidais alors à faire glisser sa culotte, et debout, face à elle penchée et occuper à me sucer, je découvrais le haut de se superbes fesses. Je réalisais soudain qu’entre les portes de l’armoire il y avait un grand miroir, je la fis se tourner légèrement pour jouir du spectacle qui s’offrait ainsi à ma vue. Je poussai avec mon pied sa culotte vers ses chevilles, et elle comprit fort bien ce que je voulais, elle s’en débarrassa non sans continuer à s’occuper goulûment de ma verge. Lui faisant écarter les jambes, j’avais alors une vue, par glace interposée, sur son entrejambes, et j’écartais, avant d’y glisser un doigt, les lèvres de son sexe. J’y glissais facilement un, puis deux doigts, et je lui branlais le clitoris en même temps, ce qui eut pour effet de la faire onduler des reins, mais ce qui me surprit le plus ce fut la suite. Elle relâcha ma queue, trempée de sa salive, et sans la lâcher, elle m’attira vers le lit, s’affala plus qu’elle en se coucha dessus, et guida ma queue vers son sexe dégoulinant de mouille. Je me mis à la pistonner, ...
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