1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1099)


    Datte: 28/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... bois, au niveau du visage il y avait une lunette de toilette. Une personne s’assoit dessus et soulage ses besoins naturels, le soumis devant avaler comme il peut. Cet appareil existait également en modèle sans la boite, sous forme de chaise, de fauteuil, de caisse. Il y avait également des croix, en bois, en métal, recouverte de cuir, avec des anneaux, des crochets, des sangles intégrées. Et même divers corsets, certains en tissu, d’autre même en métal ! Wangdak avait droit à une visite guidée. Il restait silencieux et très attentif aux explications de Monsieur le Marquis qui, parce qu’Il connaissait le Musée qu’Il avait Lui-même mis en place, faisait le meilleur guide qu’il puisse avoir. Son ami et invité se montrait donc fort intéressé par tout ce qu’il voyait, et s’imaginait utilisant tel ou tel objet avec un de ceux qui lui appartenait. Par exemple, il s’imaginait bien utilisant le siège d’amour exposé avec sa chienne Sangmo. C’était un objet destiné à prendre du plaisir des deux côtés, mais rien n’empêchait d’attacher sa soumise et future femme dessus pour s’en servir en mode plus D/s… Le Châtelain le regardait en souriant, devinant sans trop de mal les pensées qui pouvaient traverser l’esprit de son ami. Il ne montrait pas de signes d’impatience, sachant très bien maitriser Son comportement et Ses agissements, mais intérieurement, Son cœur réagissait comme celui d’un enfant, impatient de montrer à Son ami la suite de la visite, qui lui plairait et l’exciterait sans ...
    ... que le moindre doute fût permis. Mais Il laissait à Wangdak le temps de tout observer à la vitesse où il l’entendait. Il savait qu’ils approchaient de choses plus « intéressantes »… En effet, la vitrine qui s’illumina lorsqu’ils avancèrent était toujours une vitrine de présentation, mais pour mettre en valeur les différents objets, des soumis vivants avaient été disposés. La lumière en contre-jour, permettait aux visiteurs de voir ce qui se passait, mais à l’inverse, les soumis ne pouvaient pas voir ce qu’il y avait, et qui il y avait, derrière les vitrines. Certains d’eux présentaient des baguettes qui enserraient douloureusement des couilles, des pénis, des seins qui portaient également au bout de leurs tétons des chaines, des langues. La suivante vitrine exposait des cages de chasteté, toujours sur modèle vivant. L’une d’elle avait des pointes qui menaçaient le pénis qui aurait voulu trop grossir. Certaines semblaient inoffensives. Mais Wangdak repéra de nouveaux boutons, et après un regard à Monsieur le Marquis, qui lui répondit d’un signe de tête en souriant, il appuya sur l’un d’eux. Immédiatement l’un des soumis tressauta et grimaça de douleur. Effectivement, c’était une ceinture électrifiée et le bouton envoyait des petites décharges dans le sexe qu’elle emprisonnait. Venait alors une salle « d’expositions ». Des soumises étaient exposées derrière une vitrine, couchées, attachées et maintenues écartelées jambes et bras en croix avec le sexe écarté bien voyant plaqué ...
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