1. Travaux routiers - Premier couplet


    Datte: 14/08/2018, Catégories: ffh, extracon, grossexe, campagne, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, 69, pénétratio, init, humour, nature,

    Il y avait un cantonnier (bis) Et qui baisait comme un voyou Le soleil tape dur en cette après-midi d’été sur la route empierrée. Le camion du service de la voirie s’arrête sur le bas-côté. Louis descend du plateau avec sa pelle, une pioche et une faux. Ses collègues qui vont travailler plus loin le saluent. — Bon courage, Louis. Essaye de travailler pour une fois.— Oh ! Ça va, ça va ! J’aimerais vous y voir dans ce coin paumé.— Où on va c’est pas mieux ! Louis dépose ses outils sur l’herbe et s’approche de la cabine. Lisette, la jeune fille que le chef d’équipe utilise pour s’occuper de la paperasse administrative et qui les accompagne exceptionnellement, se penche à la portière. C’est une jolie rousse bien en chair avec qui Louis aimerait bien causer en particulier. Quel dommage qu’elle soit prise en main par Antoine, le responsable de l’équipe ! Il lui adresse son sourire enjôleur numéro un. La jolie rouquine rougit. Le chef d’équipe, qui fait également office de chauffeur, l’interpelle par-dessus l’épaule de Lisette. — Hé Louis !— Ouais.— C’est bien entendu, Louis ? Aujourd’hui, tu cures les fossés et tu bouches les nids de poules d’ici jusqu’à la ferme des sources.— Ouais, ouais.— Dans deux heures, je repasse. Gare à toi si c’est pas terminé.— Compte dessus, marmonne Louis.— Qu’est-ce que tu dis ?— Rien, rien, j’y vais. Le camion démarre dans un grincement de boîte à vitesses et disparaît derrière le petit bois en soulevant un nuage de poussière. Louis n’a pas de temps ...
    ... à perdre. Tout à l’heure en traversant le village voisin, il a remarqué les rideaux qui s’écartaient au passage du camion. Dans peu de temps, il va recevoir de la visite. Il faut préparer un emplacement. Il regarde autour de lui. Oui, là-bas, sous les arbres, un peu à l’écart, ce sera parfait. Il sort un litre de vin de sa musette et le cale au frais dans l’eau du petit ruisseau. En quelques coups de faux, il recueille une brassée d’herbes sèches qu’il répand sur la mousse à l’ombre d’un chêne. Il rigole en douce en pensant aux sourires moqueurs de ses collègues, quand il s’est fait affecter ce poste de travail, près du village : — Tu es fou ! disaient-ils. C’est la plus mauvaise section, pas un brin d’ombre sur la route. Lui, il sait par expérience que c’est dans ce village que résident les femelles les plus chaudes du canton et qu’il ne manque pas d’endroits discrets et ombragés comme celui-ci, à proximité de la chaussée. Les préparatifs terminés, il ramasse avec la pelle quelques graviers qu’il tasse sans conviction dans le premier nid de poules… OooOOOooO Le soleil tape dur. Louis essuie son front avec un mouchoir grisâtre. Il est inquiet. Personne à l’horizon. Se serait-il trompé ? Aurait-il mal vu en traversant le village ? Ou les maris jaloux enferment-ils les femmes à double tour ? Cela ne fait pas son affaire. Sera-t-il obligé de travailler toute l’après-midi ? Ce serait bien la première fois ! Ah enfin ! Une jeune femme débouche au coin du tournant. Elle porte des ...
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