Travaux routiers - Premier couplet
Datte: 14/08/2018,
Catégories:
ffh,
extracon,
grossexe,
campagne,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
69,
pénétratio,
init,
humour,
nature,
... fruits dans un panier. — Bonsoir, Louis.— Bonsoir, Suzon. Tu viens de ton verger ?— Oui. J’ai ramassé des prunes. T’en veux ?— Avec plaisir. Suzon tend son panier. Louis prend quelques fruits qu’il déguste. — Elles sont bonnes. Je te remercie.— Ce sont des reines-claudes, les meilleures.— Tu veux pas t’asseoir un peu ?— Euh… Je peux pas rester.— Juste une minute.— Dans ces conditions, je… Suzon s’arrête brusquement, interrompue par le bruit de la remorque que tire Marthe. — Zut ! Qu’est-ce qu’elle vient faire ici, celle-là ? grommelle-t-elle. Louis n’ose pas lui dire. Deux femelles à la fois ! Abondance de bien nuit ! À moins que… — Bonsoir, Marthe. T’es allée chercher de l’herbe pour tes lapins, je vois.— Bonsoir, Louis. Oui, je passais par-là. Je t’ai entendu et je me suis dit :Pourquoi pas dire le bonjour à Louis ?— Tu as eu raison, n’est-ce pas Suzon ? Celle-ci n’est pas du tout de cet avis et regarde sans gentillesse Marthe qui le lui rend bien. Aucune ne veut céder sa place. Louis les conduit vers la couche préparée et les fait asseoir. — J’ai vu ton mari qui te cherche, Suzon, affirme Marthe.— Le tien doit se demander où tu es. Si tu le rejoins tout de suite, il se doutera de rien.— Oh ! Je suis pas inquiète. C’est toi qui devrais faire attention. Tout le monde sait que tu le fais cocu.— Allons, allons, mesdames ! Chacune sait qu’elle n’est pas la seule que je baise. Ne soyez donc pas jalouses. Ça ne mène à rien. Moi, je suis content que vous soyez là toutes les ...
... deux. La seule chose que je regrette, c’est de pas avoir deux queues pour vous satisfaire en même temps.— J’aime mieux, dit Marthe en riant. Si t’en avais deux, elles ne seraient pas si grosses, ce qui serait dommage.— Euh… t’as raison, avoue Suzon qui se déride. Pour faire la paix, elle offre des prunes à Marthe. — Vous savez ce qu’on peut faire ? Les deux femmes interrogent Louis du regard. — Comme je peux pas vous baiser ensemble, ça serait bien si pendant que je pine l’une, l’autre la caressait. C’est-y pas une bonne idée ça ?— Euh… Suzon est perplexe. Caresser une autre femme, cela ne lui serait pas venu à l’esprit. — Si, c’est une bonne idée, s’exclame Marthe que les courbes féminines ne laissent pas indifférente. Suzon, t’as qu’à commencer toi, avec Louis.— Qu’est-ce que tu feras pendant ce temps ?— Ben, te caresser comme Louis propose. Tu veux pas ?— Je… Je sais pas… euh… J’ai jamais fait… euh… avec une femme.— Laisse-toi faire, tu verras, tu regretteras pas… Mets-toi à genoux… Tourne-toi vers moi… Oui. Marthe s’agenouille à son tour. Elle déboutonne le corsage de Suzon. Celle-ci résiste. Marthe insiste. — Montre-moi tes seins… Oui… Ils sont jolis, tu sais, déclare-t-elle en caressant les globes.— Je les trouve trop gros.— Cette blague ! rétorque Louis, que le spectacle émoustille. Il se place derrière Suzon et soulève la jupe sur les fesses soulignées par la culotte de coton. Marthe embrasse les mamelons. — Aah ! murmure Suzon dont les tétons se fripent de plaisir.— ...