Travaux routiers - Premier couplet - Histoires de Sexe

Travaux routiers - Premier couplet

... Embrasse mes seins à ton tour ! demande Marthe en ôtant sa chemise… N’aie pas peur, ça mord pas. Suzon hésite. Elle tend une main timide. Ses doigts frôlent le galbe d’un mamelon. C’est doux, c’est tendre. Elle se penche, elle est attirée par le tétin marron qui darde comme un petit sexe, mais n’ose y porter la bouche. Marthe l’attire contre elle. Le bout du sein pénètre entre les lèvres entrouvertes. Instinctivement, elle le suce. — Ouii ! Louis se bat avec la culotte qu’il n’arrive pas à descendre au-dessous du postérieur. Marthe vient à son secours. Elle recule un peu, ce qui oblige Suzon à se mettre à quatre pattes. Le cantonnier peut faire glisser le dessous encombrant sur les genoux que la jeune femme soulève opportunément. Il rejette la jupe sur les reins, dévoilant le fessier qu’il flatte. — T’as un beau cul !— Plus joli que le mien ? minaude Marthe.— T’as qu’à te mettre à côté, que je puisse comparer.— Tout à l’heure. Marthe prend la figure de Suzon entre les mains et l’embrasse sur la bouche. — Oh ! s’exclame la jeune femme qui recule au bout de quelques secondes.— T’aimes pas ? s’inquiète Marthe.— Si, mais… c’est la première fois.— T’entends, Louis, on l’a jamais embrassée sur la bouche ! Louis s’en fout. Ce n’est pas une caresse qu’il pratique. Piner lui suffit. Pour l’instant, il sort son engin dont la taille et la raideur le satisfont. — C’est pas ce que je voulais dire, murmure Suzon. C’est la première fois avec une femme.— Et alors ? Ça t’a pas plu ? En guise ...

... de réponse, la jeune femme tend les lèvres que Marthe reprend. Derrière, Louis explore les orifices et promène sa queue sur la raie. Suzon serre les fesses. — Reste comme ça, décontracte-toi.— Pas dans le cul, implore-t-elle, t’es trop gros, tu me feras mal.— Te fais pas de bile, Je vais pas t’enculer, c’est pas ce que je préfère. Je vais te baiser comme t’as jamais été baisée. Ses doigts ouvrent la chatte et font de la place au gland qui s’enfonce. — Meeuh ! gémit Suzon.— Il te fait mal ? s’inquiète Marthe.— No… Non… Aah !… Embra… Aah !… Embrasse-moi. Ce n’est pas facile, maintenant que Louis secoue la pauvre fille en la perforant à grands coups de reins. Marthe en prend son parti et se contente de caresser les seins qui pendent sous le torse. Se glissant à côté du couple, elle passe la main sous le ventre et cherche à sentir la queue de Louis tout en chatouillant le clitoris de Suzon. — Aaah !… Ouiii !— C’est bon ? N’est-ce pas ? s’enquiert Marthe.— Ouiii !… Aah !… Conti… Aaah !… Continue !— Hein que t’aimes… Han !… Ma grosse queue, ahane Louis en plein effort.— Ouii !… Aaah !… Vous… Aah !… C’est trop… Aaaah !… Vous… Aah !… Je jouis… Aaaah !… je… Aaaah jouiiiis !… Aaaah !… Aarrgghh ! Suzon s’effondre sur l’herbe pendant que Louis éjacule dans le vagin qui déborde. Marthe la cajole un peu, puis la fait se relever. — Viens au ruisseau, que je te rince. Elle noue la jupe de Suzon sur les hanches. Louis sourit en voyant le ventre nu et les poils trempés de sperme. — Eh, Marthe ...