Travaux routiers - Premier couplet
Datte: 14/08/2018,
Catégories:
ffh,
extracon,
grossexe,
campagne,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
69,
pénétratio,
init,
humour,
nature,
... De voir de si près la queue entrer et sortir du vagin de son amie l’excite au plus haut point. Elle s’imagine la recevoir et ne prend pas garde que Marthe, toute à sa jouissance, néglige de la sucer. La cadence imposée par Louis s’accélère. Il se sent en pleine forme. Bonne idée de demander aux filles de se caresser. Sûr qu’elles apprécient et voudront recommencer ! Les gémissements s’amplifient. Les oiseaux effrayés se sont tus, ce qui ne gène en rien les protagonistes, enfermés dans leur bulle de plaisir… OooOOOooO Louis, étendu sur le dos, respire bruyamment. Il est un peu fatigué. Marthe et Suzon, debout, terminent de boutonner leur chemise. — N’est-ce pas que j’ai eu une bonne idée de vous demander de rester toutes les deux ?— Tu vas voir qu’il va s’attribuer tout le mérite, s’amuse Marthe.— Ces hommes, tous les mêmes ! Viens, rentrons. Suzon pose son panier de prunes sur le chargement d’herbe de la remorque. — On y va ? La pétarade du camion du service de la voirie l’interrompt. — Voilà ton patron, Louis. On te laisse de débrouiller avec lui. Au revoir. Louis n’est pas tranquille. Antoine, son chef d’équipe, l’a menacé tout à l’heure, et il n’a pas abattu beaucoup de travail depuis le début de l’après-midi. — Au revoir, à la prochaine.— Compte sur nous !— Que faites-vous là, mesdames ? menace Antoine en s’avançant. Vous voyez pas que vous empêchez un cantonnier de travailler ?— Nous partons, nous nous sommes juste arrêtées pour lui dire bonjour, sourit Marthe. Au ...
... revoir, monsieur Louis, et excusez-nous de vous avoir interrompu dans votre boulot. Les deux femmes tirent la remorque sur la route poussiéreuse. Louis sourit de les voir ensemble. Dire qu’avant elles étaient jalouses l’une de l’autre. Tout ça, c’est bien joli, mais ça ne va pas le soustraire au savon que s’apprête à lui passer Antoine. Il adresse un pauvre sourire à Lisette, qui est descendue du camion. — On peut pas dire que tu as bien avancé ton travail. Je t’avais prévenu ! Je te veux plus dans mon équipe. En attendant, tu ferais bien de terminer ce que je t’ai demandé de faire, sinon demain je fais un rapport à la préfecture.— Si vous voulez, monsieur Antoine, je reste ici pour le surveiller.— Bonne idée, Lisette. Je serai plus tranquille. Avec toi à ses côtés, il n’osera pas tirer au flanc. Bon, ben, je vous laisse, j’ai les autres chantiers à visiter. Lisette, n’hésite pas à secouer notre Louis, ça lui fera les pieds. Antoine remonte dans son camion et disparaît dans un nuage de poussière. Louis et Lisette attendent que celle-ci se dissipe puis le cantonnier empoigne sa pelle et commence à combler un nid de poules. — Voilà comme je travaille, t’es contente ?— Euh… Ce n’est pas de ce travail dont je voulais parler… Euh… On raconte que vous avez une grosse queue, s’empresse-t-elle d’ajouter devant l’air étonné de Louis.— Qui dit ça ?— Tout le monde dans le service. Et on ajoute que vous vous en servez souvent.— Ah on dit ça ?— Oui… Lisette regarde par terre. Elle dessine du ...