Clin d'œil à LaComtesse (suite et fin)
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
couplus,
cadeau,
cocus,
essayage,
fête,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
piquepince,
confession,
... femme fait de même avec Éric. Il aimerait presque les voir. Le noir sublime l’imagination, mais il souhaite maintenant voir sa chérie en train de faire ce que sa jalousie rendait une douleur. Que la vie est étrange… Il pense si fort à ce qui doit se passer à côté, réplique exacte de ce qu’il éprouve, qu’un instant il les voit. Dans un brouillard, mais il les voit. Il voit la queue d’Éric disparaître en partie dans la gorge de son aimée. Il voit les mains de l’homme guider la tête pour son plaisir. Il voit le bout rose de la langue courir sur le gland et la longue tige pour aller trouver les couilles et les faire disparaître l’une après l’autre comme un bonbon veiné. En baissant la tête il voit aussi sa partenaire qui s’active sur lui, apportant cette volupté de la fellation. Dieu, que c’est bon ! S’il tendait le bras il pourrait même toucher l’épaule de son complice. Épaule ? Alors Marc réalise que son imagination n’est pas la seule cause de ce qu’il voit, mais une réalité diffuse que son cerveau complète. Chloé a dû remonter très légèrement l’éclairage. Oh, pas de beaucoup, mais assez pour que les ombres deviennent des lumières. Il voit Éric entraîner son épouse pour la faire s’allonger dans le canapé qui est juste là. Ils disparaissent, cachés derrière le trop haut dossier. Stéphanie comprend le souhait de Marc. Elle le comprend d’autant mieux que son mari, Éric, avait voulu pouvoir la voir tout au long de leur premier échange. Elle sait que d’une certaine façon c’est ...
... le moment où les pensées négatives sont chassées par la joie de voir l’être aimé avoir du plaisir avec un autre. Elle se lève, entraîne Marc avec elle, et s’appuyant sur le dossier du canapé lui propose sa croupe que le peu de lumière ne fait que rendre plus érotique. Chloé à dû augmenter encore un peu plus l’éclairage car les couleurs apparaissent. La croupe que Stéphanie lui propose est couleur chair. Il se retient de ne pas la fesser pour vérifier qu’il ne rêve pas. Il suffit maintenant de se pencher un peu pour retrouver Armelle allongée, les cuisses largement ouvertes, avec Éric qui est en train de la lutiner. Du rose pour la peau. Plus sombre pour les cheveux qui lui cachent l’activité de la tête entre les cuisses. Du rouge pour les ongles de sa femme qui se caresse les seins pendant que son amant la lèche, ou plus, car il ne peut distinguer si des mains participent. En se penchant un peu plus, recouvrant le corps de sa maîtresse et lui faisant sentir un bâton que la nature a créé, il découvre le visage d’Armelle. Joues rouges comme les lèvres de ce blush qui va si bien avec la robe fuchsia. Ah, cette robe, où est-elle maintenant ? Abandonnée comme une relique ? Alors que c’est grâce à elle que tout est devenu possible et qu’elle devrait recevoir l’Ordre du mérite, celui que tous les couples cherchent parfois pendant toute une vie sans le trouver. Les yeux d’Armelle sont fermés alors qu’Éric la fait jouir. Non. Elle les ouvre. Une intuition qu’on appelle l’amour. Elle ...