1. Clin d'œil à LaComtesse (suite et fin)


    Datte: 28/07/2017, Catégories: fh, ff, fhh, couplus, cadeau, cocus, essayage, fête, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe échange, piquepince, confession,

    ... son membre dans le conduit lisse de la jeunesse. Elle relève la tête pour lui sourire et replonge entre les cuisses qu’Armelle garde largement ouvertes dans une indécence sculpturale. À partir de cet instant, alors que Marc baise Chloé, s’enfonçant toujours plus loin, lui et Armelle ne se quittent plus des yeux. Elle se caresse les seins comme elle aime le faire, maîtrisant son plaisir alors que leur maîtresse s’active. C’est terriblement érotique, mais surtout délicat et resplendissant d’amour. L’amour que ces deux êtres se portent un peu plus chaque jour. Chacun guette sur le visage de l’autre les signes du plaisir, résistant à l’envie de fermer les yeux pour rester ensemble. Marc éjacule de lourdes giclées de foutre, et c’est comme si c’était sa femme qui en était le réceptacle. Plus tard, alors que Chloé est partie depuis longtemps, ils gisent l’un contre l’autre, soudés encore un peu plus par cette expérience. Jamais Marc n’aurait pensé cela possible ! Jamais Armelle n’aurait osé cette aventure sans la tentative de suicide de son mari et cette jalousie qui a failli tout détruire. Mais aussi, elle est sidérée par la façon dont elle s’est laissée entraîner par Chloé et s’est laissée caresser par une femme. Elle a encore la vision de son mari qui ramone la femme alors qu’elle-même jouit de ses caresses. Marc aussi est perdu dans ses pensées ; mais lui a un instrument, baromètre de son excitation qu’Armelle ne peut ignorer. En faisant l’amour, le couple scelle leur nouvelle ...
    ... complicité. ooooo00000ooooo [Quelques semaines plus tard] — Stéphanie, tu te souviens de Stéphanie, la patronne de la boutique où… dit Armelle à Marc.— Bien sûr. Comment pourrais-je oublier ? Sa vendeuse, surtout. Je me souviens très bien, répond le mari avec un large sourire qui en dit long.— Eh bien, elle nous invite à dîner.— Ah bon ? Mais on la connaît à peine.— C’est vrai, mais elle est très sympa et on a un peu sympathisé. D’ailleurs, il y aura Chloé. Hein, si Chloé est là, je suis sûre que cela t’intéresse ?— Si tu me prends par les sentiments…— Oh, non, chéri, les sentiments c’est moi. Elle, c’est le sexe. Et tous les deux rient de bon cœur. — Tu mettras notre robe fétiche, ajoute le mari, un brin narquois. À l’heure dite, Armelle et Marc sonnent à la porte de la grande maison. C’est Stéphanie qui les accueille. — Bonsoir.— Bonsoir. Échange de poignées de mains entre lui et l’hôtesse. Échange de bises entre les femmes. Dans le salon, deux personnes. Éric qui vient les saluer. Ici, ce sont juste des échanges de salutations classiques. Mais lorsque Chloé se lève de son fauteuil, c’est un baiser marqué qu’elle dépose sur les lèvres de Marc, à la grande surprise d’Éric. Même Armelle est surprise par tant de liberté, mais c’est par une claque amicale sur la fesse de Chloé qu’elle accompagne son : — Doucement, gamine ; c’est à mon mec que tu roules une pelle. Tout le monde rit de cette scène. Les apéritifs et les conversations commencent. On parle de tout et de rien. À un ...
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