1. Essayages en tous genres


    Datte: 28/07/2017, Catégories: fh, ff, grosseins, magasin, essayage, intermast, Oral humour, fantastiq,

    ... Tchétchénie et s’étaient fait dérober leurs valises, et qu’elles n’avaient pu garder que ce précieux instrument de musique de leur pays natal et cette petite théière qu’elles tenaient de leur grand-mère. Il ne consentit à nous laisser entrer qu’après que je me fus engagé à ne pas faire la manche en jouant de la musique, à laisser la bazoukoline à la caisse centrale, et à payer tout ce que j’achèterais. La vue de ma carte bancaire et de mes papiers d’identité sembla également le rassurer, même s’il demanda à deux reprises si je m’appelais vraiment comme ça. Mais il voulut également que l’on se sépare de la théière. Là, je tiquai un peu ; ça ma gênait franchement de la laisser sans surveillance. J’insistai, bonimentant que je voulais acheter aussi un service à thé qui aille bien avec. Il hésita encore un instant mais finit par nous laisser entrer en veillant à ce qu’on dépose bien notre bel instrument à l’accueil et en nous promettant d’un ton chevaleresque qu’il serait là à notre sortie. Dieu merci, les filles étaient restées silencieuses tout le temps de ce fascinant entretien, se contentant de sourire innocemment lorsque le vigile les regardait, elles ou leurs seins. Nous entrâmes finalement et fonçâmes directement jusqu’au rayon des habits, non sans être passés devant de multiples allées de loisirs, de hi-fi-vidéo, de livres, d’hygiène, de bouffe, etc. ; à chaque fois, les filles me demandaient ce que c’était que tel ou tel truc qu’elles apercevaient et qu’elles ne ...
    ... connaissaient pas. Je leur promis que quand on aurait trouvé des vêtements, on prendrait plus de temps pour le reste. En arrivant dans le coin des fringues et en apercevant un rayon sous-vêtements, je me fis la réflexion qu’il leur faudrait aussi des culottes et des soutiens-gorge. Je les entraînai donc dans l’allée où deux sales gosses bavaient devant les soutifs en se marrant. J’aurais bien viré ces deux crétins mais je les ignorai finalement. — Bon, les filles, qu’est-ce qu’il vous faut comme taille ? Elles me regardèrent curieusement comme si je leur parlais chinois. Pandore, qui avait repris des couleurs, contempla un instant quelques modèles, avant de demander lourdement : — Mon Gufti adoré, pouvons-nous choisir quelques-unes de ces lingeries ? Les deux mioches éclatèrent de rire en entendant ça. Je leur jetai un œil noir en leur faisant signe de décamper, mais ils semblaient n’en avoir rien à foutre, et s’éloignèrent de deux mètres pour aller s’amuser à foutre la tête dans les bonnets de soutifs géants. J’acquiesçai finalement à l’attention de Pandore qui attendait toujours ma réponse : — Oui, prenez ce que vous voulez, vous pourrez les essay… Mais non, trop tard… Pandore avait ôté son peignoir, et Azura l’imitait. — Ouah, putain, la vache ! beugla un des gamins. Mate ça, les meufs !— Nonnonnonnonnonnonnon ! hurlai-je en ramassant le peignoir. Pandore ! Azura ! vous vous rhabillez ! Et les gosses, vous dégagez ! Ils se barrèrent en se marrant joyeusement. Azura me demanda : — ...
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