1. Essayages en tous genres


    Datte: 28/07/2017, Catégories: fh, ff, grosseins, magasin, essayage, intermast, Oral humour, fantastiq,

    ... le rideau et me fixa d’un regard interrogateur. J’acquiesçai en les découvrant une fois encore toutes deux complètement nues, presque collées l’une à l’autre, qui semblaient me supplier des yeux. Et ma bite acquiesçait également, et ne demandait qu’à exprimer ouvertement son opinion. Je parvins à réprimer pulsions et envies et refermai le rideau une fois encore en leur demandant de s’habiller comme elles voulaient, mais de s’habiller. Elles sortirent enfin de la cabine. C’était encore plus terrible, presque insoutenable : les jeans et les sous-pulls qu’elles avaient enfilés étaient vraiment moulants, limite trop petits et galbaient à outrance leurs seins et leurs fesses. Je restai aussi scotché que les gosses trois minutes auparavant. — Est-ce que je te plais, mon Gufti adoré ? questionna finalement Pandore en exécutant une sorte de tour sur elle-même.— Et moi ? ajouta Azura. C’était juste dommage qu’elles aient une grosse étiquette « -20 % » sur le cul et une autre « -30 % » sur les seins… — Vous êtes ravissantes, bredouillai-je. On voyait très nettement qu’elles ne portaient pas de soutif et un œil très averti aurait peut-être pu confirmer qu’elles n’avaient également pas de culotte. — Mais vous êtes sûres que ce n’est pas trop petit ? demandai-je quand même.— Non, c’est très bien ! me rassurèrent-elles. Elles attrapèrent dans la cabine les fringues qu’elles n’avaient pas mises, et c’est en ramassant les deux peignoirs que je dus faire la connerie : sans doute frottai-je ...
    ... par mégarde la théière, je ne sais pas… toujours est-il que Bazouk apparut dans toute sa splendeur, fort heureusement au beau milieu de la cabine. — Ah, mon bon maître ! s’écria-t-il. Je me demandais quand tu te déciderais de nouveau à faire appel à moi. Dans un réflexe de peur, je tirai le rideau derrière moi. Bazouk continuait : — Je suis désolé pour la voiture, c’était une lamentable méprise. Puisses-tu me pardonner ! Je grommelai vaguement. Il poursuivit : — Je vais réparer cela immédiatement… Il psalmodia bizarrement en ouvrant ses mains. Je commençai à gueuler, mais il lança son imprécation et la cabine et toutes les cabines voisines volèrent soudain en morceaux au moment où mon magnifique coupé noir réapparut au beau milieu des rayonnages. Les quelques personnes alentour, y compris Azura et Pandore, poussèrent de féroces hurlements en s’écartant à toute allure. Bazouk réalisa soudain que nous n’étions plus en pleine cambrousse et parut dès lors pris de remords. Avant même que j’eus le temps de l’engueuler pleinement, il avait fait disparaître la voiture et était rentré piteusement tout au fond de sa théière, à mon grand soulagement. J’enroulai précautionneusement les deux peignoirs autour du domicile de Bazouk et les tins bien serrés contre moi. Autour, c’était un bordel incroyable : les cabines avaient volé et étaient déchiquetées par terre, de nombreux rayonnages avaient été éjectés à une bonne dizaine de mètres, d’autres simplement renversés ; des gens couraient ...
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