1. Essayages en tous genres


    Datte: 28/07/2017, Catégories: fh, ff, grosseins, magasin, essayage, intermast, Oral humour, fantastiq,

    ... Mon Gufti adoré, qu’y a-t-il ?— Il y a qu’on se fout pas à poil comme ça n’importe où. Prenez-en deux ou trois qui vous paraissent bien, et on essaiera ça ce soir. Enfin, vous, surtout… Comme elles paraissaient hésiter, je tranchai finalement : — Bon, laissez tomber, on passera dans un magasin de lingerie en repartant. Les vendeuses sauront bien vous renseigner… Avant de repartir vers les vêtements, on passa par le rayon des shoes, où elles choisirent chacune assez facilement une paire de baskets et une autre de tongs. Mais une fois aux fringues, l’air de rien, les deux sales gosses repassèrent encore une fois devant nous, affectant d’avoir quelque chose d’important à faire ; et arrivés à notre hauteur, ils matèrent mes deux compagnes avec insistance. Je me pris à presque regretter que Bazouk ne soit pas là pour leur mettre un poulet sur la tête… Je conseillai à mes naïades de se choisir chacune quelques vêtements que nous emporterions jusqu’aux cabines d’essayage voisines. Bien entendu, elles hésitaient encore sur les tailles, et je ne leur étais quasiment d’aucun secours. Tenant toujours la théière, je dépliai quelques jeans, et en mis quatre de côté, qui me paraissaient plus ou moins appropriés. J’attrapai également deux légères robes d’été, et une dizaine de tee-shirts, sous-pulls, chemisiers ou assimilés, et je poussai les filles dans une cabine libre en leur recommandant de garder ce qui leur allait et de me rendre ce qui était trop grand ou trop petit ou qui ne leur ...
    ... plaisait vraiment pas. Je tirai le rideau derrière elles. Leurs peignoirs ne tardèrent pas à joncher le sol de la cabine. J’attendis en faisant la ronde devant la cabine. Et je repérai soudain la tête d’un des deux sales gosses qui dépassait de la cabine voisine de celle où étaient Pandore et Azura. Ce petit con était tranquillement en train de les espionner en bavant quasiment. L’autre devait pas être loin, ou alors il aidait celui-là à atteindre le haut de sa cabine. Ils me saoulaient ! J’arrachai presque le rideau de leur cabine ; effectivement, ils étaient là tous les deux. Celui qui matait se laissa retomber et ils commencèrent à marmonner je sais pas quoi. Je les attrapai l’un et l’autre par l’épaule, les traînai jusque devant la cabine des filles et gueulai : — Vous voulez les voir à poil ? Eh bien regardez ! Et j’ouvris le rideau. Pandore était en train d’ôter un chemisier tandis qu’Azura enfilait un jean. Elles me regardèrent curieusement et sourirent bravement aux gamins qui restaient parfaitement scotchés. J’attendis trois secondes, puis refermai le rideau en râlant : — Allez, maintenant, vous allez vous branler tranquillement chez vous et vous nous foutez la paix, okay ? Ils me firent une drôle de tronche et décampèrent sans un mot. — Mon Gufti adoré, sollicita soudain Azura, pouvons-nous tout garder ? Je déglutis en pensant avec tristesse à mon compte en banque. J’essayai de compter rapidement. S’inquiétant sans doute de mon absence de réponse, elle ouvrit soudain ...
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