1. Essayages en tous genres


    Datte: 28/07/2017, Catégories: fh, ff, grosseins, magasin, essayage, intermast, Oral humour, fantastiq,

    ... partout, affolés, se demandant ce qu’il s’était passé. J’avisai Pandore et Azura qui restaient prudemment à l’écart et les rejoignis. Je leur dis de me suivre, et, l’air de rien, je me dirigeai vers une caisse, où la nana semblait continuait de faire passer ses clients comme si de rien n’était. Elle termina avec le couple de petits vieux devant moi et quand Azura et Pandore posèrent toutes les fringues sur le tapis roulant, elle jugea bon de leur demander ce qui se passait dans le magasin. Devançant précipitamment la réponse des jeunes femmes, j’expliquai posément à la caissière qu’on n’était vraiment plus à l’abri nulle part, que même ici, on risquait notre vie. Elle rétorqua qu’elle ne me le faisait pas dire, que même elle, un ami de son beau-frère s’était une fois retrouvé dans une prise d’otages. On devisa ainsi jusqu’à ce qu’elle eut terminé de comptabiliser les vêtements que s’étaient choisis Azura et Pandore, après quoi, malgré le gros montant indiqué sur la caisse, je lui expliquai qu’il fallait également compter les fringues et les grolles que portaient mes deux nymphes. Elle s’étonna tout de même brièvement, mais vint ensuite poser très professionnellement le détecteur de code-barre sur les pieds, sur les fesses, et sur les seins des deux jeunes femmes, en rougissant toutefois quelque peu. Je payai avec réticence les six cents et quelques euros et souhaitai bon courage à la caissière avant d’apercevoir seulement l’énorme vigile qui nous attendait fermement quelques ...
    ... mètres plus loin. De sa voix de contrebasse, il exigea de vérifier le contenu de mes poches, celui des filles, et celui des peignoirs. Il examina soigneusement mon portefeuille et mes clés, puis pelota attentivement chaque recoin du corps d’Azura, et de Pandore. Quand il fut convaincu que nous ne portions rien que nous aurions pu avoir volé et que leurs seins étaient parfaitement naturels, il termina par une observation minutieuse des peignoirs et de la théière. Il abandonna rapidement les peignoirs, mais décida d’explorer méticuleusement la théière ; je tentai de le retenir, mais il enfonça profondément ses doigts dedans en la faisant tourner sous ses mains, pour vérifier qu’elle ne contenait rien d’anormal. Il ne fut pas déçu… dans un curieux jet de fumée, la forme évanescente de mon génie apparut soudain devant le vigile qui lâcha la théière dans un réflexe. — Sus aux assaillants ! hurla soudain Bazouk en lançant des éclairs dans tous les sens. Également dans un réflexe, je recouvris la théière d’un peignoir que je maintins serré autour de l’objet doré ; l’ensemble parut s’agiter encore un moment, mais tout s’arrêta fort heureusement assez vite. Incroyablement, personne d’autre ne semblait avoir vu ce qui venait de se passer ; seul le vigile nous considérait bizarrement. Je devançai sa question : — Attention, je suis un grand magicien ! Cette théière est ensorcelée… Il me regarda avec un soupçon d’inquiétude et un gros paquet de scepticisme. — Mais nous n’avons rien volé, ...
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