1. Une mise en situation réconfortante


    Datte: 16/08/2018, Catégories: fff, fplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, fépilée, fsoumise, fdomine, soubrette, noculotte, odeurs, massage, intermast, fdanus, tutu, lettre, fsoumisaf,

    ... plat, un petit triangle de poils noirs et crépus qui s’évase au sommet d’une longue fente, des cuisses fuselées et largement découplées encadrant une vulve rebondie, des grandes lèvres oblongues et lisses qui cachent les nymphes et le capuchon. Sa peau mate, de métisse sans doute, contraste avec le sexe rose. Sous le triangle nettement délimité, il n’en est que mieux mis en valeur. — Vous avez un très joli corps, Magali… J’aime beaucoup votre silhouette… Vous avez un fessier parfait… et ces cuisses… ces genoux… ces mollets… ces chevilles… ce ventre… les formes de ce pubis… tout est ravissant ! Et… je vous félicite pour le soin que vous prenez de votre… féminité. Les yeux fixés sans fard sur chaque détail que je nomme, je la complimente en léchant du bout de la langue la pâte d’amande douce collée entre deux macarons. Elle soutient d’abord mon examen sans ciller, une petite moue sceptique pince sa bouche. Elle te jette un coup d’œil indécis, quémandant une aide, un conseil. Tu lèves les yeux en signe d’impuissance, c’est à elle de décider. Elle parie sur ma sincérité et se détend d’un mince sourire : — Vous êtes très aimable, Madame. Je n’ai rien d’exceptionnel, je le sais. Peut-être ma jeunesse… Oh ! Pardon ! (Elle rougit vivement.) Ce n’est pas le mot… je ne voulais pas dire que… La peur d’avoir raté son test se lit dans ses yeux. Tu restes de marbre, rivée à ta fonction d’évaluatrice. Je lui souris mélancoliquement en reprenant une douceur sur le plateau que Céline, ...
    ... courbée vers moi, s’efforce de tenir à ma portée. — Mais si, Magali, c’est le bon mot, vous êtes jeune. Le hasard m’a fait choisir une tartelette à la fraise. Je l’entoure de ma bouche, la suçote légèrement, la goûte, la quitte. — Délicieuse, dis-je en m’adressant à Céline, sucrée avec juste une pointe acidulée… Oui, Magali, vous êtes si jeune comparée à moi. Je dois la mettre mal à l’aise, mais j’insiste. — Si jeune, si fraîche ! Oui, c’est votre fraîcheur qui fait votre principal attrait. Ce n’est pas le seul, soyez-en sûre. Cette fois, je gobe la fraise et lèche la crème à petits coups de langue avant de reprendre d’un air plus enjoué : — La jeunesse rajeunit la maturité, vous savez, comme une cure de jouvence… Mais vous devriez quitter aussi votre mignon soutien-gorge noir, ce serait dommage de risquer de le mouiller, non ? À nouveau elle hésite. Suis-je allée trop loin dans le rôle ? Mes jeux de langue sur les pâtisseries étaient-ils trop évocateurs de la part du genre de cliente que je suis censée être ? Trop obscènes de la part d’une bourgeoise, même esseulée ? Du coin de l’œil, j’essaie de déchiffrer ce que tu penses. Ton attitude est imperturbable, mais tes yeux sourient. À côté de toi, madame C*** respire rapidement, son visage plus coloré qu’elle ne voudrait. Tiens, tiens ! Aurais-je été l’interprète de ses pensées ? — Voyons Magali, que craignez-vous ? Ma voix se fait complice : nous sommes seules ici… personne d’autre que moi ne peut vous tenir rigueur de votre tenue, ...