1. Une mise en situation réconfortante


    Datte: 16/08/2018, Catégories: fff, fplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, fépilée, fsoumise, fdomine, soubrette, noculotte, odeurs, massage, intermast, fdanus, tutu, lettre, fsoumisaf,

    ... ! Tout en continuant de fourrager sur ma chatte et de tripoter mes tétons, je secoue la tête en feignant l’indécision. Ce prétexte me permet de balayer la salle du regard. Les filles se sont rapprochées de notre trio, sauf Déborah qui se tient à l’écart. Elle semble mal à l’aise, observant à la dérobée ta conversation avec Cyrielle. Celle-ci est plus détendue. J’avais noté son geste spontané de quitter sa petite culotte dès son retour et de te la présenter. Ton appréciation favorable a dû la soulager. Madame C*** est muette, sans doute dépassée par l’ambiance. Ses yeux vont de mon exhibition lascive à l’exposition de lingeries intimes. Tu ignores son désarroi en reportant ton attention sur moi. Je comprends ton invite muette et je mets fin aux incertitudes de Céline. — Écoutez, Mademoiselle, vous n’avez qu’à vous tenir près de la baignoire avec votre plateau ; je pourrai ainsi picorer pendant ma toilette. J’accompagne cet ordre d’une pression sur son épaule et l’entraîne avec moi, alors que tu renchéris : — C’était à vous de proposer d’entrée cette solution, Céline, voilà une belle erreur !— Oui, madame Aline, je suis désolée, renifle la pauvrette au bord des larmes. Sa peine me touche. Je passe gentiment ma main le long de son dos pour la réconforter. Surprise ! La gamine n’a pas de soutif. Pas si candide que ça, donc ! Sans rien dire de ma découverte, je me présente à Magali : — Enfin ! Me voici tout à vous, mademoiselle… Le bain n’a pas trop refroidi ?— Il est à point, ...
    ... Madame, me rassure Magali en enlevant la serviette de mes épaules, j’ai rajouté de l’eau chaude en vous attendant. Mais laissez-moi d’abord retirer vos chaussures.— Oh bien sûr, suis-je sotte ! Aidez-moi, Céline. Intégralement nue, je prends son épaule comme point d’appui pour poser un pied, puis l’autre sur le bord de la baignoire. Céline détourne les yeux. Magali retire les sandalettes en soutenant tour à tour mes cuisses puis m’offre son bras pour entrer dans l’eau mousseuse. Avec son soutien, je m’y plonge voluptueusement. Une chaleur idéale m’enveloppe. Soupirant d’aise, je remercie d’un sourire ma soubrette. — Madame, me permettez-vous de quitter mon tablier et mon haut ? Je ne voudrais pas les mouiller. Magali sollicite mon accord pour la forme, me dis-je, ou bien pour s’assurer que je désire la voir nue. En te voyant soudain à proximité, accompagnée de notre hôtesse quelque peu troublée, je penche pour la seconde hypothèse. — Mais évidemment, mademoiselle… heu… Magali, c’est bien votre prénom ? Faites donc, ce sera plus simple, en effet. Je me rehausse dans mon bain en la détaillant sans détour pour lui confirmer son intuition. Par la même occasion, je réclame de la main à Céline d’approcher le plateau. Magali se recule de deux pas. Elle dénoue son tablier et s’en défait sans cesser de me regarder. Toujours bien plantée face à moi, elle retire son top en le démêlant sans hâte de ses longues tresses. Elle me laisse tout loisir de l’observer : des hanches fines, un ventre ...
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