ça fait tout drôle! (1)
Datte: 17/08/2018,
Catégories:
Divers,
... chagrin. « Ne vous fâchez pas, je découvre ma mère depuis son décès. Oh, elle m’a parlé de vous, et pas qu’un peu. Il n’y avait pas un jour sans qu’elle ne fasse une allusion sur vous, vous comparait à mon père. Enfin, elle ne comparait pas, elle jugeait mon père avec vous comme...comment dire, oui, comme maître étalon. Mon père est un militaire de haut rang, un général. Je ne l’aime pas, enfin pas trop, il est trop militaire si vous me comprenez. » Puis, elle me parle de Sybile, sa vie, sa fille juste devant moi ce miroir de ma jeunesse. Elle me montre une photo de classe où nous sommes côte à côte, Sybile et moi. On ne le voit pas sur l’image, mais nous étions main dans la main. Enfin, Caroline me montre son épaule gauche, dénudant pour que je voie ce tatouage ; S.-M.BF. et mes initiales en dessous. C’est plus que je ne pouvais en supporter, je me remets à pleurer, l’émotion est trop grande. « Si je suis venue, c’est pour deux raisons, vous connaitre et connaitre ma mère quand vous étiez ensemble. Et puis, parce que d’après ma mère, vous étiez un adolescent particulièrement bon pour faire jouir ma mère en l’attachant, la fessant ou que sais-je encore. » « Ainsi, vous savez tout ça ! » Elle s’excuse, se lève et sort de mon appartement pour en revenir quelques minutes après avec deux gros cartons bien lourds. « Vous avez là tout ce qu’elle a écrit sur vous, c’est presque du minute par minute. Tout y est, les nœuds, le nombre de claque sur ses fesses, même sa poitrine. ...
... Si elle jouit ou pas, si elle a eu mal et comment fut ses orgasmes dans ces moments de douleurs qu’elle affectionnait venant de vous. » La jeune femme pose ça devant moi. Je lui ai pris son bras. Je l’ai attiré contre moi et l’ai embrassée comme la toute première fois avec Sybile. Caroline se refuse dans un premier temps et je la comprends. Pourtant je force et elle s’abandonne à moi quand ma main se perd sur ses petites fesses. Quand nos bouches se séparent, elle me fixe quelques instants. Elle m’enlace et m’embrasse avec la fougue de son âge. Mes mains caressent son corps, se glissent sous ses vêtements. Je découvre un corps jeune, sensible, une douce peau. Très vite, elle se retrouve entièrement nue, couchée sur mon lit et mon corps sur elle. Je la prends et l’aime comme si elle était ma Sybile. Très vite encore, elle jouit une première fois, citant le prénom de sa mère. Quand vient mon orgasme, je clame ce prénom si délectable à mes oreilles, mon cœur. Je m’épuise vite, dommage, quelle poisse. Pourtant, il me semble retrouver cette énergie que j’avais quand, avec ma Sybile, nous couchions ensemble sur cette meule de foin dans cette grange. Cette pensée, cette vision sortie de ma mémoire, me redonne la force de faire jouir cette jeune femme. Je suis sur le dos, une jeune femme couchée sur moi. Elle embrasse mon corps, caressant mon pénis qui se repose. Elle me parle de sa mère, de nos histoires qui la font encore jouir dans sa petite chambre depuis ses premiers émois ...