ça fait tout drôle! (1)
Datte: 17/08/2018,
Catégories:
Divers,
... d’adolescente. Elle se redresse, me fixe avant de m’avouer qu’elle rêvait de me rencontrer. Je l’embrasse tendrement, l’emporte au salon. Je cherche dans les cahiers de Sybile. Et voilà sur quoi je tombe : « Il m’avait solidement attachée entre deux poutres, j’étais écartelée, avec le sentiment que s’il tendait davantage une ou l’autre corde, il allait me déchirer en deux. Je me sentais bien, je voulais qu’il me fasse souffrir un peu, comme il sait si bien le faire. Sa main pinça mon sein gauche, puis le droit. Je gémissais et mouillais comme une fontaine. Il posa son gros zizi devant ma bouche, je me délectais de sucer mon gros sucre d’orge. Je savais que j’allais goûter à ce qui se fait de mieux sur terre, son sperme. De ses mains, il m’imposait son rythme. Je lui donnais plein pouvoir sur mon corps. Enfin, je reçus ma récompense, son foutre qui se déversait par saccade dans ma gorge. Il bandait encore quand il se glissa entre mes fesses, lécha mon cul avant d’y mettre son zizi. Il m’enculait et j’aime ça. Oui, avec lui, tout devenait possible, même l’impossible. Il m’enculait divinement. Il jouit dans mon cul, me fit jouir en malaxant ma chatte, la visitant de ses doigts. Puis, il me fessa, copieusement qui plus est. Je criais, certes, mais c’était de plaisir. J’étais jeune et j’adorais ça, il avait mon âge et j’étais, avec lui et uniquement pour lui, sa chose, son jouet et j’aime ça. Il m’acheva en me prenant. Il me fit l’amour, à moi, solidement écartelée et j’aime ça. ...
... Il m’épuise de bonheur, jouissant sur mon ventre, essuyant mon ventre de ses mains qu’il me donne à lécher et j’aime ça. Tu vois, mon cher journal, j’aime ce jeune homme, il pouvait tout me demander, tout exiger de moi. Personne d’autre ne le pourra plus après que... » Il n’y a plus rien après, à part une tâche d’encre que je devine être venue d’une larme. « Vous savez, Christian, quand maman m’a donné ses cahiers, je les ai tous lu, oui, tous. Je suis tombée amoureuse de celui qui faisait jouir ma mère, vous. » Elle respire un grand coup et : « J’ai ces derniers cahier, ils sont de ma main, ils vous racontent les derniers moments de ma mère, mes premiers émois en vous lisant, mes premiers orgasme en pensant à vous, vos supplices enfin tout ce que vous avez fait avec maman. » Je ne savais que dire quand elle me tend ses cahiers. Je n’ai même pas le courage de les ouvrir, j’ai trop peur de pleurer encore. Elle s’avance vers moi, m’enjambe, m’embrasse. Je la serre très fort contre moi. Elle m’avoue, entre deux baisers, que si elle est venue, c’est une des dernières volontés de notre Sybile. Puis, elle me fait un autre aveu, me lisant les dernières pages de son dernier cahier : « Je veux connaitre cet homme que maman décrit comme un dieu fait homme. Certes, ils étaient très jeunes, mais je voudrais vivre ça, ne serait-ce qu’une journée où je veux me donner entièrement à cet homme, ce dieu si bien décrit. Pendant cette journée, ou plus, je serais entièrement à lui, il pourra tout, ...