ça fait tout drôle! (1)
Datte: 17/08/2018,
Catégories:
Divers,
... comme sur maman, me faire. Quand je le verrai, je ne sais pas comment je me comporterai, j’ai peur, je l’avoue. Pourtant quelque chose me pousse à le rencontrer, déjà pour maman, enfin pour connaitre son amour de jeunesse. Je sais, il n’est plus tout jeune, mais s’il venait à me plaire, si je tombais amoureuse de cet homme, ce dieu comme disait maman. C’est autant de questions qui me mettent en émoi, m’oblige à me caresser, à jouir. Aucun homme jusqu’ici n’a trouvé grâce à mes yeux. Aucun avec le tempérament de cet homme qui vit si loin de moi. Sans le connaitre, je me sens si proche de lui. Oui, j’en suis maintenant persuadée, je veux connaitre cet homme, peut-être l’aimer, le chérir s’il veut bien me faire revivre ses amours avec maman. » J’embrasse cette jeune femme, je la couche, je l’aime encore et je la fesse copieusement et elle jouit de tout ça fait en même temps. Je me retrouve, je renais, je revis avec ce jeune corps dans mes bras. Je me sens comme ces jours bénis avec ma belle Sybile, oui, je suis un homme nouveau. Encore en elle, je la soulève, l’emporte dans ma chambre, la couche et, chose étonnante entre mes cuisses, je recommence à la lui faire l’amour. Cette fois, pas de fessée, je lèche, embrasse et mordille ce corps qui se tortille de plaisir. Ce corps jouit encore, cette bouche qui clame en vouloir encore et mon corps qu’y s’épuise lentement. Je me réveille avec l’impression d’avoir vécu un conte de fée, peut-être le dernier même. En me tournant, je ...
... m’aperçois que ce conte de fée dort près de moi, beau, merveilleux. Je baise ce tatouage, le lèche. Je vois ce corps, ce visage, je vois Sybile, même si nous n’avons jamais dormi ensemble. Dans mon salon, je prends un cahier au hasard, une page au hasard. Voilà ce que je lis : « Il était à genou, liant mes chevilles éloignées l’une de l’autre. Il souleva mes chevilles, donnant un libre accès à mon minou. Encore à genou, il me lécha longtemps. Mes suppliques pour qu’il me baise ne semblait pas entendue. Mais je jouissais de sa bouche. Demain, il ne savait pas encore, j’allais partit trop loin de lui et je ne pouvais le lui avouer. Maman m’aurait tuée si je l’avais fait. Il me baise enfin, j’ai peur, pourtant le plaisir se déploie dans mon corps et j’ai peur. Peur par ce que j’ai plus mes règles ont plus d’un mois de retard. Si je suis en ceinte, c’est son enfant que je porte. Je vais jouir, sa queue me défonce, je l’aime, je t’aime mon amour. Pourtant j’ai peur. Pourtant j’ai...envie de rester ou de t’emmener, de t’enlever avec moi. » C’est plus que je peux en supporter. Je pose ce cahier, Caroline lèche déjà mes larmes. « Prends ton temps, qu’elle me dit, il te faut prendre un peu de recul, c’est trop violent. Tu sais quand je t’ai lu sur Xstory que j’ai vu ce pseudo que tu utilises, je savais que c’était toi. Regardes, il est là, au début du code. » Dans un long soupir, ma main sur son fessier, elle me déclare vouloir rester et vivre les aventures que nous vivions avec sa mère. Je ...