Liaison interdite
Datte: 17/08/2018,
Catégories:
ff,
fplusag,
alliance,
amour,
fsoumise,
init,
... un baiser. C’est un baiser léger, furtif. Jennifer reste immobile, les yeux plongés dans son propre regard. Christelle recommence, frottant ses lèvres sur son épaule gauche pour un contact plus franc, sans ambiguïté. Jennifer a un frémissement à peine perceptible. Elle continue donc, tout en frôlant cette fois-ci sa taille de la main droite, qu’elle fait monter et descendre, avant d’envelopper un sein que la serviette dénouée dégage gracieusement. Jennifer a un autre frémissement, plus violent, avec une petite plainte à peine audible et un geste de recul. À peine flagrant… Elles restent un instant ainsi, un instant unique et magique, savourant l’attente qui fait monter le désir à son point le plus culminant. Jamais le cœur de Christelle n’a cogné si fort, elle est nerveuse comme une amoureuse transie. Cette constatation ridicule la force à sortir de sa béatitude, ainsi que la délicieuse brûlure au creux de sa main lorsque la pointe du mamelon, tel un dard incisif, se met à grossir. Elle continue donc de caresser avec passion chaque trait du visage, la dévorant des yeux. Elle l’attrape par les cheveux avec douceur et l’attire à elle, approchant son visage du sien. Elle semble fascinée par la sensualité enfantine des lèvres satinées qui, tout près, frissonnent, comme une invitation. Christelle ne peut y résister. Elle presse sa bouche contre la sienne. Jennifer gémit, puis se détourne avec brusquerie. — N’aie pas peur… la rassure Christelle. Elle essaie une nouvelle ...
... tentative. Elle lui dépose un baiser sur la joue, glisse dans le cou où là, malgré elle, Jennifer penche la tête en arrière, comme pour lui faciliter le passage. Christelle en profite pour couvrir sa gorge de baisers enfiévrés, s’y attardant longtemps avant de remonter jusqu’au menton, puis à la bouche. Nouveau refus. Alors, elle repart à l’attaque en privilégiant la gorge mais, cette fois-ci, va ensuite du menton jusqu’au lobe de l’oreille qu’elle se met à mordiller délicatement, léchant d’une langue aiguë le pourtour. Jennifer frissonne violemment, sans pouvoir se retenir. — Christelle, non ! Elle tente maladroitement de renouer la serviette autour de ses épaules mais, à chaque fois, Christelle l’en empêche, lui attrapant les bras pour arrêter son geste. Haletante, elle se presse sur elle, s’excitant de ses faibles protestations, les étouffant de baisers affamés. Jennifer ne sait plus quoi faire, l’air apeuré. Sa respiration se trouble, ses cils clignent presque convulsivement, son regard ne pouvant se poser ni sur le plafond ni sur le visage de Christelle. Sa seule défense est de s’accrocher à sa serviette. Maigre protection alors que Christelle se plaque contre elle avec des petits grognements de bête affamée. Jennifer se sent désemparée, jamais elle n’a provoqué un tel émoi presque animal, et il faut que cela se produise avec une femme, sa belle-mère. Cela est effrayant et… excitant. Elle se met à haleter comme une sprinteuse à bout de souffle, telle une biche effarouchée qui ...