Le stagiaire italien
Datte: 18/08/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
cérébral,
intermast,
Oral
pénétratio,
confession,
coupfoudr,
amourpass,
... ballottée en avant à chaque accélération. Je comprends le bien-fondé de la combinaison, car ma veste de tailleur claque au vent. Je dois me coller à ses omoplates pour éviter de m’envoler, mais je me sens peu à peu plus en confiance. Après un tour d’une dizaine de minutes, il me ramène à ma voiture. J’ai les jambes qui flageolent et sens une étrange excitation lorsque je mets enfin pied à terre. — Miss Élodie est prête pour une grande randonnée, claironne-t-il avec sa charmante pointe d’accent et un sourire enjôleur. Je tente de cacher mon trouble et lui rends son sourire. Il me claque deux grosses bises sur les joues, sa barbe naissante soigneusement entretenue me fait frissonner. Puis il s’éloigne à plein gaz, me laissant plantée là avec une pointe de langueur… Le vendredi soir, je prépare mes affaires, comme si j’allais au bal des débutantes. Le moins de choses possible, a-t-il cru bon de me préciser. De toute façon, sous la combinaison, je ne peux porter qu’un shorty ! Sinon, je ne peux l’enfiler. Comme il m’a précisé qu’il y avait une soirée prévue le samedi soir, je choisis une petite robe noire sexy, des dessous de rechange, un jean, un sweater et des escarpins en plus de mes bottines. Je m’endors d’un sommeil peuplé d’engins hurlants, de loubards menaçants et de panaches de fumées.Easy Rider me revient en mémoire. Quand il sonne chez moi, ce samedi matin, je descends d’un pas mal assuré, engoncée dans ma combinaison. Il m’enveloppe d’un regard appréciateur, et je ...
... sens qu’il fixe avec intensité mon décolleté. Il s’étonne de ma petite valise, l’ouvre et verse un à un vêtement et accessoire de toilette dans un des coffres arrière. Son geste s’arrête lorsqu’il tombe sur mes dessous, qu’il chiffonne de ses doigts comme pour en tester la matière, mais il finit par les ranger aussi. Je remonte la valisette devenue inutile, redescends, enjambe la selle et vive l’aventure ! Parvenus à la porte d’Orléans, nous retrouvons une dizaine d’équipages semblables au nôtre, reconnaissables à leurs drapeaux italiens. Nous patientons un moment pour quelques retardataires puis, en convoi, filons vers le sud. Je me cale douillettement, le ventre contre ses fesses, les seins sur le bas de son torse, la tête sur ses omoplates, en lui enserrant les hanches de mes bras noués. Par moment, il accélère, pour prendre la tête du peloton, puis se laisse dépasser après par les autres. Au bout d’un moment, je sens une étrange excitation. Est-ce la vitesse, le fait de sentir la selle et ses fesses entre mes cuisses écartées, la sensation du cuir sur ma peau, les vibrations de la route ? Je l’ignore, d’autant plus qu’à travers mes gants joints sur son bas-ventre, j’ai l’impression que Dino est tout dur. Je me raisonne, pas de bêtises avec mon jeune stagiaire, nous avons presque dix ans d’écart ! L’émotion se traduit, comme souvent chez moi, par une envie pressante d’une halte aux toilettes. J’essaie de faire comprendre à Dino le besoin urgent qui m’assaille, nous ne pouvons ...