Einstein (11)
Datte: 18/08/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Entre envie et amour ! Maryse peu à peu voyait s’évanouir ses dernières réticences. Victor l’amenait là où il le désirait, juste des yeux et de sa voix monocorde et sans inflexions particulières. Totalement subjuguée, elle obéissait avec zèle, dans un brouillard confus. L’homme lui avait fait retirer chemise, soutien-gorge et maintenant c’était cette jupe qu’elle avait mis un temps infini à repasser qui gisait pareil à un chiffon sur le sol. Lui s’était assis dans un fauteuil et Einstein couché entre ses jambes donnait l’air de suivre l’évolution de ce strip-tease, de ce dépouillement rapide. La culotte assortie au soutif, elle aussi venait de rejoindre le tas de fringues qui jonchait le sol. Elle restait plantée là, sans faire un geste, avec cette voix qui lui vrillait les tympans. Pourtant jamais Victor n’avait dit un mot plus haut que l’autre et quand il lui demandait de se tourner, elle s’exécutait sans sourciller. Dans sa tête, un vide, un immense trou sans fond lui donnait cette impression qu’elle devait juste obéir. — Tu vois Maryse que tu es une bonne fille. Dis-le-moi, dis-le-nous que tu vas nous combler. Sois sans crainte, tu vas prendre du plaisir en partageant avec nous... — ... Ce « nous » ? Il parlait sans doute du chien et de lui ! Mais elle n’arrivait plus à remettre ses idées bien en place et lentement elle sombrait dans ce monde bizarre où Victor voulait l’emmener. — Maintenant, mets-toi à quatre pattes, oui ! Là, devant nous. Ses jambes ne demandaient que ...
... cela, tant elles tremblaient. Et la position ordonnée prise, elle dut encore avancer vers les deux mâles. Puis il lui fit ouvrir sa braguette, d’où elle sortit le sexe dur. Einstein lui tournait derrière elle, la reniflant sous toutes les coutures. Dans cette posture évidemment, il sentait sûrement qu’elle... était pour lui. — Vient mon joli ! Tu vas faire le Monsieur maintenant. Attends ! Pas d’impatience, juste lentement, ne sois pas pressé, elle est à nous, tu le vois, tu le sais, tu le sens ! Alors, ne l’abime pas ! Reste calme et écoute ma voix. Le cabot lui aussi semblait subjugué par les inflexions sonores de l’homme assis. Et Maryse ne réagissait pas autrement que son animal. — Bien ; jolie Madame, tu veux bien me sucer un peu ? Oui ! Comme ça ! Prends-moi plus profondément dans ton bec de bel oiseau. Plus encore... oui ! C’est bon ça ! Là ! Ne retire plus ta bouche. C’est bien, avec ta langue aussi. Ah ! Oui ! Salope tu es, salope tu resteras, et toi Einstein... lèche, là ! Le toutou comme s’il suivait à la lettre les instructions de cet homme, donnait de larges coups de langue sur le triangle entre les cuisses de la belle. La langue râpeuse et baveuse remontait parfois jusqu’à l’anus et elle, tranquillement persistait à sucer le bâton de son berger. Elle était excitée et mouillait d’abondance, affolant de plus en plus le clébard qui triquait d’incroyable façon. Maintenant, il devenait plus nerveux, malgré la voix qui l’exhortait au calme. — Tu es trop pressé mon ami ...