1. Einstein (11)


    Datte: 18/08/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... ! Laisse-nous un peu de temps. Celui d’apprécier la bouche de notre femelle. Attends ! Les mains masculines venaient d’attraper les cheveux de la brune pour tirer la tête vers l’arrière. Et sans ménagement il l’obligeait à reculer tout en se redressant. — Couche-toi là ! Non, pas sur le ventre, retourne-toi ! Sur le dos veux-tu ? — Mmm ! — Toi viens ici ! Cet ordre s’adressait au chien qui, comme sa maitresse suivait à la lettre les injonctions pourtant calmes du vieux type ! La truffe d’Einstein à nouveau s’insérait entre les cuisses qu’elle gardait ouvertes. — Tu vois, elle est chaude notre cochonne ! Elle va nous appartenir, mais tu permets que je passe avant toi tout de même ? Il venait de se dévêtir et nu se positionnait de manière à ce que ses fesses recouvrent le visage de la femme allongée. Elle le laissait faire alors qu’il lui ouvrait plus encore le compas où l’animal se précipitait toujours. Peut-être était-ce même le maître qui guidait la bestiole. L’impression que les caresses, les léchouilles devenaient plus précises, traversait l’esprit de la brune. Un esprit encore bien englué dans une cotonneuse absence de réaction. Elle avait fermé les yeux, et la pression du derrière qui lui couvrait le visage lui interdisait de les rouvrir. Victor parlait gentiment au chien, de la même manière qu’il l’aurait fait avec un ami. Et l’impatience de celui-ci disparaissait par enchantement. C’était bien de cela qu’il s’agissait, la femme et son animal étaient sous l’emprise ...
    ... totale de cet homme, sans que ce dernier n’ait rien fait d’autre que les regarder et leur parler. Et pour parler, il parlait... — Allons ma toute belle, lèche-moi ! Tu vois ce que je veux dire, tu vois ce que je veux ? Ne sois pas timide, j’aime bien cette forme de caresse. Vas-y sors la ta langue ! Ah oui ! Tu n’as pas assez d’espace pour le faire ? Victor se penchait un peu plus vers l’avant, ouvrant ainsi son postérieur à la frimousse de la brune. Et sans même l’ombre d’une hésitation, cette femme au demeurant intelligente et cultivée obéissait. Elle venait dans un premier temps de passer doucement sur cet endroit si semblable chez les femmes et les hommes. Puis elle y revenait une autre fois, et se prenait au jeu. Alors cette petite langue tendue en pointe en délimitait le pourtour, tentant à quelques reprises de s’introduire dans cet orifice naturel. Le chien la léchait et elle faisait au maître une merveilleuse feuille de rose. Le degré d’excitation des uns et des autres montant d’un cran supplémentaire. En homme avisé, sans doute connaissait il les limites de sa persuasion. Surtout pour Einstein qui donnait de nerveux coups de langue tout en s’affolant de plus en plus. Il était temps pour le maître de passer à la vitesse supérieure. Il parlait encore et toujours à son compère de partouze. — C’est bon, hein, mon grand ! Ne t’énerve pas, tu vas avoir ce que tu désires. Tu vas la saillir, mais avant... laisse-moi aussi jouer un peu. Regarde comme c’est une bonne salope, elle ...
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