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Einstein (11)
Datte: 18/08/2018, Catégories: Zoophilie,
... me lèche le cul avec gout et dextérité. Comme si elle avait fait cela toute sa vie. Tu aimerais qu’elle te suce aussi ? D’accord, elle va s’occuper de ta pine mon beau. Les sons étouffés parvenaient avec peine jusqu’au cerveau de la femme qui avait salivé l’anus de Victor et grâce à cette mouille buccale, la pointe de la langue avait trouvé le moyen de passer la barrière des muscles. Elle naviguait donc à quelques centimètres dans ce fondement, et l’homme appréciait vraiment. Pourtant, le chien... lui s’impatientait de plus en plus. Alors pour le calmer, il fallait que le bonhomme trouve une solution. — oooOOooo — Le fessier se décollait de la bouche qui le caressait. Puis la femme devait changer de position et cette fois elle se retrouvait entre les pattes arrière de Einstein que Victor avait fait s’allonger. La pine dure du cabot était maintenant devant les yeux de la belle et elle savait qu’elle allait devoir s’occuper de celle-ci ! Son chien lui, comprenait sans doute que la bouche gourmande lui préparait une gâterie de rêve. La boule de poils restait sur le dos, pattes écartées alors que la pipe démarrait. Quant à Monsieur le Chef d’orchestre de toutes ces fantaisies, il passait derrière la brune qui à genoux pompait le dard de sa bestiole. Sans aucune peine il enfonçait sa bite dans la chatte terriblement mouillée de Maryse. Quelques mouvements sans doute pour la lubrifier et il revenait à un endroit, le même chez elle que quelques instants auparavant elle câlinait ...
... chez lui. Le sexe du clebs dans la bouche avec les mains de la femme qui s’y cramponnaient et celui de l’homme qui la pénétrait doucement, mais surement, tout la tétanisait vraiment. — Détends-toi ! Quand le passage sera fait, tu vas jouir ma belle salope. J’aime prendre les femmes comme cela, les amener à aimer aussi cette sodomie que beaucoup redoutent. Je sais que tu es bonne et qu’avec un peu d’expérience et beaucoup de doigté, je peux t’amener à une extase sans nom, mais j’ai besoin que tu sois détendue. La bite s’enfonçait de plus en plus en elle et elle parvenait tout juste à se concentrer sur sa fellation canine. Les mains de Victor lui maintenant les hanches et ainsi, il débutait un accouplement bizarre. Celui de cette femme suçant son chien et d’un homme qui la sodomisait avec passion. Un drôle de trio dans un espace clos, loin des regards, une partie de cul plutôt vicieuse. Pourtant Maryse y trouvait son compte. Le plaisir montait doucement, sans vraiment déferler en elle. Toutes les impressions qu’elle avait se trouvaient multipliées par les tabous transgressés. Elle aurait pu dire à la seconde près le moment où il s’était épanché en elle. Elle avait saisi ce moment si particulier, celui où le sexe de l’homme semblait prendre un peu plus de volume encore. Cet instant où le léger tressaillement laissait monter la sève dans la tige. Elle imaginait ? Où voyait-elle vraiment cette lave qui lui remplissait le fondement ? Victor avait réussi ce tour de force de la rendre ...