1. Einstein (11)


    Datte: 18/08/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... esprits. Victor penché sur elle lui caressait le front avec des gestes si tendres... Elle appréciait qu’il ne l’ait pas abandonnée dès leur partie terminée. Sa respiration se calmait, elle revenait sur terre après un décollage vertigineux. Le cabot n’était plus auprès d’eux et pas dans les parages. — Tu es merveilleuse Maryse. Comme j’aurais aimé te rencontrer dix ou vingt ans plus tôt. J’aurais fait de toi, une compagne de choix, je t’aurais offert à mes meilleurs amis, nous serions de vrais libertins. — Vous... vous êtes vraiment fou ! — Oui sans doute, mais que cette folie est douce ! Douce et amère à la fois ! Elle m’a permis de tutoyer les étoiles avec toi, mais tu es arrivée trop tardivement dans mon existence. Dommage, nous aurions fait de grandes choses tous les deux ! Enfin tous les deux ou à plusieurs... je t’adore. — Mais... je... je ne comprends pas tout là ! — Oh, je suis bien certain du contraire. Ce ventre, ces seins, ta chatte, ton cul, tous sont des appels au sexe. Des prières à te donner du plaisir et aussi à en recevoir. Il y a bien longtemps que je n’avais plus sodomisé une femme de cette manière... et puis me faire éjaculer deux fois en quelques minutes, dans la même soirée... c’est... un exploit. — Vous avez joui ? Je ne m’en souviens pas vraiment. — Alors, c’est que toi aussi tu as pris ton pied. Oui et tu as tout avalé aussi bien par derrière que par le haut ! Une jolie cochonne qui est faite pour le cul, je te l’ai dit à maintes reprises, mais je ne ...
    ... me lasse pas de te le ressasser. — Vous... vous me faites peur. — Mais que crains-tu ? Nous sommes là tous les deux, et je ne pense pas que ton chien aille raconter quoi que ce soit. Alors ? Maintenant, raconte-moi... tes impressions. Ton ressenti ! Tu vois ça pourrait m’aider pour... qui sait, un troisième round. — Vous avez encore envie de faire l’amour ? Avec moi ? Bien entendu ! Mais pour le moment... si nous prenions une douche tous les deux, tu es d’accord ? — ... ! Oui bien sûr. — oooOOooo — Victor savonnait le dos de Maryse. Rien de sexuel dans ce geste. Il auvait plutôt des allures paternelles et elle appréciait la présence de cet homme. Bien sûr, elle entrevoyait bien que la partie qui venait de prendre fin n’avait rien de moral. Mais il avait une façon si particulière d’amener les choses et puis... sa voix, sans donner un seul ordre, l’avait subjugué au point d’oublier toute son éducation. Curieusement, elle se posait une question étrange ; était-elle amoureuse de ce type ? La réponse restait : non. Mais il avait ce don de la faire mouiller sans rien faire, juste en lui parlant et elle s’avouait qu’en cela il était dangereux. La peur n’avait jamais évité à personne aucun danger. Et pour l’heure elle frissonnait sous le gant de crin qu’il frottait sur son échine. L’eau tiède aussi avait toujours des effets bénéfiques sur son mental. Il s’affairait sur la colonne vertébrale et en elle remontaient des souvenirs délicieux. Ceux de cette gamine malicieuse que sa mère ...
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