1. Don Booth et la théière disparue


    Datte: 18/08/2018, Catégories: h, fh, fff, fffh, couple, bizarre, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe humour, policier,

    ... embarquée. J’étais venu en vacances, ensuite je me retrouvais à démêler une histoire de théière volée en concurrence avec d’autres détectives dans une sorte de parodie d’émission de télé-réalité, après je me retrouvais enfermé dans une armoire, ensuite je courrais après un invraisemblable plan cul en compagnie de trois belles demoiselles, et enfin quand j’arrivais à mes fins, je me faisais précipiter dans une connerie de toboggan qui me parachutait dans une oubliette froide et sans lumière. Putain de journée ! — Je peux peut-être vous venir en aide, dit une voix de stentor semblant jaillir des ténèbres.— Qui est là, clama Agathe d’une voix assurée. Une lueur jaillit dans les ténèbres. Derrière la lueur, il y avait un briquet. Derrière le briquet il y avait une main. Derrière la main il y avait un visage. — Sauyères, murmurai-je en reconnaissant le visage carré du colosse Canadien.— Encore une veine qu’il y ait au moins une personne ici qui n’ait pas arrêté de fumer, répondit le gaillard en approchant son briquet. Mais qu’est-ce que vous foutez à poil ?— C’est une longue histoire, répondit Agathe, vous avez une lanterne ou quelque chose dans le genre ? Elle semblait prendre les choses en main avec assurance, mon intuition était juste dès le départ, c’était avec elle qu’il fallait faire équipe ! — Ouais, j’ai trouvé ce truc-là, ça devrait le faire, répondit l’officier de la police montée. La lumière devint beaucoup plus forte, il avait enflammé des morceaux de vieux tissus ...
    ... qu’il avait enroulés autour de… — Mais où avez-vous trouvé cet os ?— Il y en a plein partout, tout autour de nous. Je crois que c’était une sorte de mausolée ici jadis.— Respectez le patrimoine de l’hôtel s’il vous plaît, intervint Aurélie.— Oui, enfin bon, il nous faut quand même de la lumière, répliqua Karen.— Comment êtes-vous arrivé ici, demandai-je au Canadien.— Longue histoire…— C’est vrai, ajouta Karen, la dernière fois qu’on vous a vu, vous alliez interroger les domestiques avec…— Ne me parlez pas de ce type ! Un vrai psychopathe, ce Japonais ! J’étais avec lui pour interroger le personnel. Moi, j’y allais tranquillement, présomption d’innocence et tout ça… Et lui commença à sortir son outillage !— Quoi il a déballé sa bite ?— Mais non, Booth. Son matériel ! Des pinces ! Il en avait des dizaines dans ses poches. Des pinces qui vous prennent la peau et vous la serrent comme un crabe. Des pinces spécialement adaptées pour les tétons. Des pinces qu’on vous enfonce dans le cul et qui vous mettent l’anus à l’envers, des pinces à couilles qui vous font défaillir… Brrrrr ! C’était trop pour moi, j’ai voulu l’arrêter. On s’est battu, et il m’a poussé violemment contre un mur. Et après, je n’ai pas très bien compris, c’est comme si j’étais passé à travers la maçonnerie !— Comme pour nous, Don s’est jeté sur moi la bite à l’air et…— Hey ho ! Ne me faites pas passer pour le satyre de service, vous étiez toutes à vous gouiner sans vergogne, je vous signale !— Bon, on ne va pas passer ...
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