Don Booth et la théière disparue
Datte: 18/08/2018,
Catégories:
h,
fh,
fff,
fffh,
couple,
bizarre,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
humour,
policier,
... dans la main droite, la chevelure d’une Amazone dans la main gauche. J’empoignai un sein et me mit à le pétrir. — Et là, tu arrives ici, et direct tu t’enfiles quelques alcools locaux, et boom, ça fait un de ces dégâts dans tes veines, tes hormones se bouleversent, ton esprit part en couille et… Je hurlai, vidant violemment le contenu de mes bourses dans la chatte de la belle pendant que ma vision se troublait, en proie à un vertige orgasmique. — … et voilà, même pas deux minutes, c’était ce que je disais… Le restant de l’après-midi était passé à vitesse supersonique, j’étais resté au lit sans me rendre compte du défilement des heures et déjà le soir approchait. Avant de nous laisser, Aurélie nous avait annoncé qu’un grand dîner serait servi dans la salle à manger en présence de tous les pensionnaires. Il était l’heure d’y faire acte de présence, ce que je fis sans bonnes dispositions : se montrer sociable ne faisait pas vraiment partie de mes facultés. J’avais été surpris en arrivant dans la salle à manger de voir qu’il n’y avait qu’une seule grande table autour de laquelle chacun prenait place. J’aurais préféré rester à l’écart avec Karen, je me disais que les clients de l’hôtel devaient être nettement plus distingués que moi et je ne voulais pas me sentir ridicule devant le beau monde. Toutefois j’avais vite oublié ce détail en voyant arriver les plats, tous dignes d’un de ces restos ultra étoilés dans lesquels je n’allais jamais. Le vin était à la hauteur et je ...
... commençais à avoir des bouffées de chaleur, il faut dire que je n’avais pas l’habitude de ce type d’alcool. À moins que ce ne soit à cause de ma razzia dans le minibar ? Des gens étaient assis autour de nous et mangeaient et buvaient sans se retenir et il y avait une atmosphère étrange dans cette pièce, comme si personne ne se connaissait, mais que tout le monde était ami. L’un des bienfaits du bon vin, sûrement… Des chaises étaient libres, Aurélie nous ayant expliqué qu’un couple de vacanciers avait été retenu à cause des mauvaises conditions météo. Un dénommé Harris faisait le service, et restait parfaitement attentif aux moindres désirs des convives. Comme le jardinier, il portait un smoking blanc immaculé. Lui par contre n’avait pas une tête de monstre, mais on nous avait prévenus qu’il était sourd-muet et qu’il fallait juste lui faire des signes lorsque l’on désirait quelque chose. Karen était assise à ma droite. À ma gauche se trouvait un étrange homme nommé Joe-quelque-chose. Son nom était quasi imprononçable. Il était Indien d’après ce que j’avais compris, pas « indien » apache, plutôt « indien » du côté des maharadjahs. Il était petit, le teint jaunâtre, le visage fripé, et n’arrêtait pas de parler d’une voix fluette qui me tapait sur le système. En face de moi se tenait un stoïque japonais du nom de Takano, et lui, c’était l’inverse : il ne disait pas un mot et se contentait de picorer dans son assiette. Il avait l’air plus froid que la glace dans le seau à champagne. Les ...